Une sortie en bus dans les Pyrénées

Samedi 25 avril 2015

Au programme :

· 7h30 : départ de Lalande

· 9h00 : visite d’une fromagerie à Lombres avec dégustation de fromage de la vallée de Barousse.

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· 11h00 : visite guidée de la cathédrale de St-Bertrand du Comminges

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· 12h30 : apéritif dans la nature, près du bus.

· 13h00 : repas au chalet de St-Nérée à Ferrere

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· 15h00 : maison des sources. Découverte et observation du cycle de l’eau au moyen de maquettes interactives qui retracent le parcours de l’eau, son captage à la source jusqu’à son arrivée à la station d’épuration.

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· Retour prévu à Lalande vers 18h30.

Prix :29€ par amicaliste, 10€ par enfant et 35€ par invité.

Menu

Tian au chèvre chaud

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Bœuf bourguignon – pommes de terre vapeur

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Tarte aux pommes

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vin – café

Le plat pays

L’ombre de Jacques Brel plane tout au long des 40 kilomètres de plages de sable blanc qui, ignorant la frontière, conduisent de DUNKERQUE (France) à NIEUWPOORT (Belgique).

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Dans les dunes, au milieu des argousiers et des touffes d’oyat qui retiennent le sable, les paroles du « plat pays » s’imposent aussitôt. « Avec la mer du Nord pour dernier terrain vague. Et des vagues de dunes pour arrêter les vagues. » …

L’hiver, la pluie tombe sur le rivage, poussée par le vent du Nord. Mais au printemps, « quand le vent est au rire » et le ciel azuré, une balade sur ces plages devient un régal. Au fil des saisons, un regard porté à l’infini fait encore songer à Brel : « Avec des cathédrales pour uniques montagnes et de noirs clochers comme mâts de cocagne… ».

Que l’on soit au nord du nord de la France ou au sud de la Belgique, ces rivages font l’objet de l’attention de moult associations et des collectivités locales. Il existe de nombreuses réserves naturelles.

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Cette région a été autonome, sous les comtes de Flandre, jusqu’au XIVème siècle, puis bourguignonne, espagnole, autrichienne, enfin française ou belge. Côté belge, on parle encore le flamand au quotidien, beaucoup moins du côté français. Les lieux, objets ou plats traditionnels, waterzoï ou potjevleesch, ont des noms aux consonances étranges.

Si le front de mer est le royaume des sternes, gravelots et autres oiseaux aquatiques, les dunes et zones humides abritent plutôt crapauds, libellules, alouettes lulus et bruants de marais.

C’est un pays de polders gagné sur la mer. Ce sont les moines qui ont lancé le mouvement au Moyen-Age. En introduisant drainage et digues, ils ont façonné au XVIIème siècle le paysage tel qu’on peut le voir aujourd’hui. A l’été, le plat pays est celui du blé et de la pomme de terre, mais aussi celui de la « violette du nord », le lin.

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En Belgique, Nieuwport, village de pêcheurs, est devenue une jolie cité balnéaire de 11000 habitants qui se compare à notre Touquet. Une très belle promenade relie la plage à la vieille ville. On peut déguster un succulent poisson frais dans les restaurants. Si l’on dispose de toute la journée, on peut emprunter le tramway qui longe la côte jusqu’à la frontière hollandaise, en deux heures, et qui permet d’admirer villages côtiers, plages et dunes.

Ces paysages d’eau, de canaux, de sable blanc et de dunes, se retrouvent à Dunkerque et Gravelines. Ces villes qui ont subi tant de conflits au fil des siècles, sont désormais une terre d’industrie lourde (raffinerie, centrale nucléaire). Dunkerque est le troisième port français. Une des places de la ville abrite la statue de Jean Bart, corsaire de Louis XIV, véritable mythe local qui aurait sauvé Dunkerque de la famine en 1698.

A Gravelines, on peut découvrir les fortifications en forme d’étoiles, intactes, de Vauban.

On peut terminer cette visite du plat pays à Malo-les-bains, y déguster d’excellentes bières dans les bistrots de la plage, écouter la mer et regarder une dernière fois le sable blanc de la plage.

Jean-Paul HUART

Opinion

Voici une autre réflexion sur Charlie, plus approfondie mais aussi plus sujette à discussion, qui prouve que les avis sont très partagés.

Vous avez dit Charlie ?

Il y a toujours des abrutis de dieu quel que soit le nom qu’ils lui donnent, des enténébrés de dogmes, pour se lever et combattre tout ce qui fait l’être humain et sa dignité : son esprit critique, sa liberté de penser.

Jusqu’au 7 janvier dernier, on pouvait naïvement croire que les fanatiques religieux − des intégristes catholiques voulant faire interdire des spectacles « blasphématoires » aux exaltés islamistes prétendant empêcher la représentation de leur idole, sans oublier les fondamentalistes juifs qui prétendent asservir toute la Palestine au nom du Grand Israël biblique − ne s’en prenaient qu’à la liberté d’expression, ce qui était déjà s’en prendre au fondement de la démocratie. On sait aujourd’hui qu’ils sont tout aussi impatients de massacrer ceux qui ne leur ressemblent pas et ne partagent pas leurs élucubrations.

Je suis plutôt ulcéré par certaines réactions, même si le formidable rassemblement populaire spontané, qui a pris de court politiques et médias, aide à ne pas désespérer. Ulcéré parce que j’ai entendu parler de provocations à propos des dessins de Charlie hebdo. Comme si la provocation ne venait pas de ceux qui ont le culot de vouloir interdire les critiques de s’exprimer, de vouloir imposer silence à la planète ! Les caricaturistes ne font que répondre légitimement à l’arrogance des censeurs et chaque citoyen a une dette envers eux.

Il est, me semble-t-il, une évidence : le sacré des uns n’étant pas celui des autres, il n’y a que la tolérance pour nous permettre de vivre ensemble, celle que la laïcité réussit plutôt bien à organiser.

Malheureusement, des confusions viennent la contrarier. Il en est une particulièrement néfaste qui se focalise sur le terme d’islamophobie. Prétendant nous garder de tout racisme, elle entérine de fait une sorte de prohibition de la critique de l’islam et par extension de toute religion. Que sous-entend-elle ? Que l’hostilité à l’islam recouvre une hostilité aux Arabes ? J’entends bien que certains exploitent ce filon. Mais la confusion qu’elle apporte est au moins aussi dangereuse : tous les musulmans ne sont pas arabes et tous les Arabes ne sont pas musulmans ! Cette confusion procède au fond d’un racisme plus sournois, qui consiste à vouer un peuple à une religion, à l’y enfermer. Mais c’est là faire injure à tous ses membres, croyants ou non, en les imaginant incapables d’indépendance à l’égard du religieux. C’est notamment dénier tout crédit à ceux, athées, qui ferraillent contre le « sacré » qu’on veut leur imposer, comme ont ferraillé en Occident les philosophes des Lumières, plus tard les libres penseurs et enfin ceux qui ont conquis de haute lutte le privilège de la laïcité. Et l’injonction trop entendue – « Attention aux amalgames ! » – instaure un couvre-feu sur la mise en examen du fait religieux, et cela à cause de niais peut-être bien intentionnés mais qui se satisfont de la bonne conscience que leur procure une protestation facile.

Plus grave peut-être : cette confusion implique le présupposé que les religions seraient a priori respectables et par voie de conséquence non susceptibles d’analyses et de débats. Qu’elles aient été, toutes ou presque, à l’origine d’effroyables guerres et carnages est pourtant incontestable. Mais on ne peut occulter qu’elles sont aussi à la source de faits de civilisation et de démarches individuelles ou collectives d’ouverture aux autres, d’interrogations spirituelles et de progrès dans l’humanisation des peuples. Il est des croyants qui s’en tiennent à l’esprit, quand d’autres s’accrochent à la lettre (c’est même à ça qu’on reconnait les imbéciles : le littéralisme !) ; hélas, dans ce domaine la bêtise fait souvent de sérieux dégâts et ne pardonne pas…

Parler d’instrumentalisation politique des religions est une lapalissade sans grand sens : les religions ont, depuis toujours, une dimension politique prépondérante. La résurrection du fanatisme est l’occasion de s’en convaincre, sans pousser des cris d’orfraie en feignant de s’offusquer d’une « montée de l’islamophobie » qui n’est que le signe d’interrogations et d’une méfiance légitimes. Méfions-nous des religions parce qu’elles portent en elles cet absolu – la foi, la certitude pour le croyant de détenir la vérité – qui peut conduire à la négation de l’autre ! Les manifestations protestataires de certains musulmans contre les caricatures de Charlie Hebdo, comme la demande de certains intégristes catholiques ou autres évangélistes de créer un délit de blasphème, le démontrent. Et ce qui me navre est qu’il est des gens pour y souscrire au nom du « respect »… Mais il est vrai que la « bienpensance » est devenue la face réactionnaire de certains comme l’ordre moral fut celle d’autres. Il faut donc encore rappeler une évidence : le respect est dû aux personnes, pas à leurs croyances, leurs idéologies, leurs représentations du monde, leurs utopies.

Reste enfin la fraternité. Il n’y a pas besoin de dieu pour cela, les révoltés de tous les temps et de tous les pays l’ont montré, même si les révolutionnaires ont parfois hélas prouvé qu’on pouvait aussi l’assassiner avec la liberté. En tous cas, rien ne m’alarme plus que d’entendre parler de « frères en religion ». Car la fraternité est universelle, sinon le mot ne recouvre que l’esprit de clan : une fraternité de meute, d’un groupe ligué contre le reste du monde.

Sentiment qui fait évidemment défaut aux chiens de dieu (pardon pour les chiens), ce qui ne doit pas, il me semble, amener pour autant à les considérer comme des monstres. Non, hélas, ils sont des humains, comme le furent les nazis et tant d’autres fléaux des peuples, et quoique amputés de leur capacité d’empathie autant que de leur libre arbitre. Telle est la banalité du mal, qui fait que nous n’avons que la vigilance de la pensée et l’exercice de l’esprit critique, pour ne pas risquer un jour de leur ressembler.

Voilà ce que signifie pour moi être Charlie. En souhaitant du même coup aux misérables imbéciles qui nous endeuillent d’avoir un jour l’intuition qu’ils vont finir par rôtir aux enfers, puisqu’ils y croient.

Et que les crayons et les lettres finissent par l’emporter durablement sur les kalachnikovs !

Charlie

JMD

L’assemblée générale

Une soixantaine d’amicalistes s’était réunie chez Blanc en ce dimanche matin pour assister à notre assemblée générale annuelle.

Après le discours du président et l’annonce des sorties à venir (voir discours dans les pages précédentes) nous sommes passés à table pour apprécier la décoration effectuée avec soin par notre chère Momo.

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Nous nous sommes ensuite régalés avec les plats préparés par le restaurant et comme l’année dernière Mick Fontaine et son accordéon a su mettre l’ambiance en interprétant des classiques de la chanson française.

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Nous avons ainsi pu en profiter pour baptiser les nouveaux adhérents à l’amicale au son du « Vivat flamand ».

Une bonne journée passée avec les ch’tis !

Sabrina CODRON

DOIT-ON ETRE CHARLIE ?

A l’issue de l’assemblée générale du 18 janvier, une question a été posée : peut-on dire « nous sommes Charlie » ? Une minute de silence a été naturellement observée,  par respect pour cette équipe de « Charlie hebdo », les policiers et les autres personnes qui se trouvaient là au mauvais moment, assassinés dans des circonstances atroces.

Vous avez tous votre opinion sur le sujet. J’ai éprouvé le besoin de livrer la mienne.

Il est évident que je suis Charlie dans son malheur. Le bilan est triste. Nous déplorons la mort de17 victimes qui ne méritaient pas ce triste sort. Il faut ajouter trois morts que nous ne déplorons pas car, sous couvert de la religion, ce sont des assassins de la pire espèce.

C’est après ce constat que les avis peuvent diverger. Depuis le 7 janvier, tout le monde parle de «la libre expression ». Mais jusqu’où peut-on aller dans la libre expression ? A écouter certains, elle n’a pas de limites.

Charlie hebdo, émanation du journal Hara Kiri, qui se disait lui-même bête et méchant, a fini par trouver des monstres beaucoup plus bêtes et surtout bien plus méchants !

J’ai trouvé cette maxime, issue de la sagesse populaire, qui dit ceci : « L’humour, c’est de savoir que tout, absolument tout, est drôle. Du moment que c’est aux autres que ça arrive ».

Ces derniers jours, le pape a dit : « Insultez ma mère et je vous mets mon poing dans la gueule ! ». Réaction surprenante venant d’un apôtre de la non-violence ! Le pape lui-même n’aurait pas d’humour ? Ou tout simplement faut-il comprendre que l’humour a ses limites. La moquerie, la raillerie, s’expriment par une forme de mépris ou par des bravades. L’humour, poussé jusqu’à la satire, devrait s’arrêter avant l’insulte.

Le « canard enchaîné » de cette semaine (j’écris ces lignes le 24 janvier), résume la pensée de Cabu, Sharp et leurs collègues en disant qu’ils « vomissaient » toutes les religions. C’est donc cela l’humour ? Vomir ce que peuvent penser ou croire les autres ?

Peut-on penser que les « vomissures » de Charlie sont assimilables à de la haine ? Beaucoup le pensent et certains sont allés jusqu’à tuer pour cela !

L’humour de Charlie ne m’a jamais fait rire. Au nom de la libre expression, il n’est pas interdit en France mais j’ai le droit de dire que je ne suis pas (du verbe suivre) l’humour de Charlie.

Athées qu’ils étaient, ils devraient être maintenant dans le néant.

Si jamais ils se sont trompés, ils vont peut-être rire jaune car, catholique pas très pratiquant, je vais quand même dire une prière pour eux !

Jean-Paul HUART

Petite annonce : Un canapé à vendre !

Très joli canapé pratiquement neuf..car non utilisé…. à saisir

    Caractéristiques :   

  • Canapé 2 places avec 2 têtières en position relaxe séparément =  L 163 /H 79 /P101/ = Finitions très soignées : cuir vachette.

  • hyper confortable : Densité assise : 32 Kg/ M2. et dossier : 22Kg/M2

  • PRIX : A débattre. Autour de : 750 €  – Prix achat  : 2.100 €

  • Mobilier de France juillet 2011. Facture garentie.

  • Pour plus de renseignements TEL : 06.64.19.38.17.

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LOTO

Important ……. Important………..

Vous trouverez ci dessous l’affiche pour notre loto.
Je vous rappelle que cette manifestation nous permet de financer notre association et surtout va nous permettre de relancer l’impression de notre Beffroi.
Venez nombreux, vous passerez une bonne après midi et amenez avec vous des amis, des copains, des voisins et même de la famille… car chez nous le temps est toujours à l’amitié.

Dimanche 23 novembre 2014

14 h 30

 

CENTRE D’ANIMATION DE LALANDE

239, avenue de Fronton, 31200 TOULOUSE LALANDE

LOTO Ouvert à tous

 

 Organisé par l’Amicale des Gars du Nord

 

Volailles, Longes de porc, Jambons,

Filets garnis, Vins fins, Fabrique à soda…

Un réveillon complet pour 4 personnes

(valeur 250 euros)

 

1 carton : 4 € – 4 cartons : 10 €  – 7 cartons + 1 gratuit : 16 €

 

 

Crêpes – Pâtisseries – Boissons

 

(pas de titre)

Assemblée générale

Dimanche 18 janvier 2015 à 10h00

Chez BLANC, 10 impasse de Candie, 31100 Toulouse

Au programme :

  • A 10h00 : accueil – Assemblée Générale- Film de Jean-Paul sur l’année écoulée
  • A 12h30 : apéritif
  • A 13h00 : repas animé par Mick Fontaine

Le prix de cette journée est fixé à :

28 euros pour les Amicalistes à jour de leur cotisation 2013.

10 euros pour les enfants de moins de 12 ans.

31 euros pour les invités.

Merci d’établir 2 chèques : un pour la cotisation et un pour la participation à l’Assemblée Générale.

 

Les amicalistes qui ont un problème de déplacement sont invités à se faire connaître auprès de Monique Huart (05.61.72.53.58 – 06.87.46.74.48), un covoiturage devant être mis en place pour la journée.

Menu

Punch, olives et biscuits

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Toast Cabécou au miel et magret de canard séché

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Filet mignon de porc sauce girolles

Flan légumes du soleil et pommes grenailles

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Assiette aux 3 fromages

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Tarte aux pommes et glace à la vanille

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Vin café champagne

La Saint Nicolas

Dimanche 7 décembre à 12h00

Au restaurant le Cabanat à Portet sur Garonne

8 Chemin des Genêts, 31120 Portet-sur-Garonne

 

Prix : 22 € pour les amicalistes – 23€ pour les invités

Pour les enfants : steak haché frites et glace : Prix: 6 euros

 

Un faux filet est proposé aux personnes ne pouvant pas manger de moules. Merci de le signaler dans le bon d’inscription.

Les amicalistes qui ont un problème de déplacement sont invités à se faire connaître auprès de Monique Huart (05.61.72.53.58 – 06.87.46.74.48), un covoiturage devant être mis en place pour la journée.

Afin de faciliter le travail de Saint Nicolas, signalez si vous venez avec vos enfants ou petits-enfants.

Menu :

Cocktail Cabanat (Gaillac perlé et sirop de violette)

Salade gourmande (Salade, tomate, gésiers, magret séché et croûtons)

Moules Frites

Bûche mascarpone et Nutella

Café

Bière 1664 (pichet) ½ L par personne

A quand le prochain Beffroi ???

Après avoir entrevu, et écarté, plusieurs possibilités de reprise d’édition de notre beffroi (qui n’a plus paru depuis huit mois), nous nous acheminons vers l’acquisition d’une imprimante.

Outre l’amortissement de cet achat, il faudra évaluer le coût de son exploitation, papier, cartouches d’encre, sans compter les frais d’envoi, toutes dépenses que nous n’avions pas à supporter jusque maintenant.

Nous en reparlerons à notre assemblée générale qui aura lieu le dimanche 18 janvier 2015, dans le même restaurant que l’année dernière, avec le même accordéoniste, puisqu’il avait fait l’unanimité.

Ce présent courrier vous informe sur les deux prochaines journées organisées par l’amicale, et tient lieu de convocation pour notre assemblée générale du 18 janvier prochain.

La projection du film sur la croisière, prévue en novembre, est reportée en février, en raison du loto du 23 novembre.

Notre prochaine rencontre est programmée le dimanche 7 décembre. Nous dégusterons notre moules frites traditionnel, et St Nicolas viendra rendre visite aux petits (et aux grands) à l’issue du repas.

Le bureau et moi-même espérons vous voir nombreux lors de ces deux journées. Vous nous rendriez service (au niveau de l’organisation) en vous inscrivant le plus rapidement possible et en respectant les dates limites. Merci.

Amicalement,

Le Président, Jean Paul Huart