Réflexion : Restons jeune

«  On met longtemps à devenir jeune ! »

Notre jeunesse est un lointain souvenir ?

Le vieillissement de notre corps nous préoccupe ?

Un seul remède : il faut garder le moral. L’optimisme est une grande partie de la solution.

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Lisez le texte ci-dessous. Il est une réponse à nos questions. Il a été écrit en 1945, par le général Mac Arthur :

« La jeunesse n’est pas une période de la vie, elle est un état d’esprit, un effet de la volonté, une qualité de l’imagination, une intensité émotive, une victoire du courage sur la timidité, du goût de l’aventure sur l’amour du confort.

On ne devient pas vieux pour avoir vécu un certain nombre d’années : on devient vieux parce qu’on a déserté son idéal.

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Les années rident la peau ; renoncer à son idéal ride l’âme. Les préoccupations, les doutes, les craintes et les désespoirs sont les ennemis qui, lentement, nous font pencher vers la terre et devenir poussière avant la mort.

Jeune est celui qui s’étonne et s’émerveille. Il demande comme l’enfant insatiable : et après ? il défie les évènements et trouve de la joie au jeu de la vie.

Vous êtes aussi jeune que votre foi, aussi vieux que votre doute, aussi jeune que votre confiance en vous-même, aussi jeune que votre espoir, aussi vieux que votre abattement.

Vous resterez jeune tant que vous resterez réceptif, réceptif à ce qui est beau, bon et grand, réceptif aux messages de la nature, de l’homme et de l’infini.

Si un jour, votre cœur allait être mordu par le pessimisme et rongé par le cynisme, puisse Dieu avoir pitié de votre âme de vieillard. »

« Je voudrais mourir jeune le plus tard possible ! »

Jean-Paul HUART

Un peu de poésie

 

…par notre ami Jean-Pierre Bossut

C’est la vie…..

Une enfance heureuse,

Une adolescence fructueuse,

Puis les filles, les filles, les filles.

Le début de la vie !!

Amourettes d’un jour,

Un jour le grand amour , toujours

Puis l’engagement réfléchit.

La suite de la vie !!

Les serments, les enfants,

Petits, adolescents,

Jolie vie de famille.

C’est le sel de la vie !!

Les années passent,

Elles laissent des traces,

Des regrets, des soucis.

C’est la loi de la vie !!

En fin on réfléchit,

Parfois on se dit,

Qu’ai-je fait de ma vie,

L’ai-je réussie….. ?

………C’est la vie

 

Adam et son Eve

Pourquoi l’a-t-il mangé cette pomme,

Premier de tous les hommes ?

Déjà dominé par La femme,

Il a commis l’acte infâme.

ON lui avait bien dit de ne pas y toucher,

Mais EVE, la perfide, lui a parlé

ADAM, montre que tu es un homme,

Relève le défi, et croque la pomme.

Depuis la nuit des temps,

L’homme se croit puissant,

Mais a toujours été et reste dominé,

Par les femmes, qui malgré, réclament l’égalité.

Pourquoi l’a-t-il mangé cette pomme,

Lui le premier de tous les hommes ?

Nous aurions été si heureux

Dans le paradis du Dieu. !!

 

 

L’Quinzain’ des Fiêtes

(Pasquille extraite de l’Nouvielle Vaclette du 06/12/1930 et transmise par P. Boulet)

 

Eh bin, v’là des fiêt’s pindant cheull’quinzaine,

Ch’est quasimint d’trop, qu’cha n’vous fass’point peine

J’vous dis cha, bonn’s gins, pasque bin franch’mint

Vous m’répondrez p’t’êt’ : « l’ fait quer à vivre,

Mais ch’t’eun’viell’coutum que tout l’mont’ veut suivre »

Cha ch’est vrai, et puis ma foi, après tout

Bast ! qu’tout un chacun s’amusse à sin goût…

Et puis ches coss’s là, cha ne r’vett’ personne,

Si vous avez ri, graigné tous insonne,

Vous avez bin fait, car ch’est par l’intrain

Et tout rigolant qu’on obli l’chagrin.

Vous m’direz l’chagrin, ch’étot bin facile,

De l’aicher d’côté, pasque l’Saint-Cécile,

L’Saint’-Cath’rine, l’Saint’-Eloi, l’Saint Nicolas,

A fait fair’ doug doug, dins l’cœur des papas,

Dins ch’ti des manmans, dins ch’ti des familles,

Et qu’tertous, homm’s, femm’s, garchons et jeun’s fills

Ont r’fiêt’ chés saints tout comme auteurfos,

Nos bons viux taïons in bons vrais Lillos…

Et pindant quinz’jours dins nous grand’ville,

On a intindu, par chint et par mille,

Des canchons, des r’frains répétés in chœur,

S’mant partout l’gaieté, l’union et l’bonheur.

Eh bin !… cha ch’est bin franch’mint j’vous admire,

Car cha prouf’ qu’à Lille on sait toudis rire,

Aussi j’vous souhait’ que cha dur’ toudis

« L’chagrin n’nous fait point gaigner l’paradis »

Ch’est vrai qu’cha écauff » tant sot peut les tiêtes,

Mais j’vous dis d’bon cœur dins l’quizain » des fiêtes

Allez-y bonn’s gins, peurnez du bon temps,

Car lorsqu’on est mort… j’crosqu’ch’est pour longtemps !

Benoît VANUXEM

Blanche-Neige et les sept nains

Le statut de grand-père nous amène à renouer avec les récits qui enchantaient notre jeunesse, avec ces contes de fées qui nous ont bercés et que nous lisons le soir à notre tour à nos petits-enfants, avec le sentiment de transmettre des valeurs essentielles.

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En y réfléchissant, de justes questions s’imposent quant aux messages véhiculés par ces textes d’hier, et l’envie m’a pris de les revisiter en leur apportant une touche de modernité.

Il était une fois une jeune fille albinos qui avait les yeux rouges et la peau blanche. Rouquine jusqu’à l’os, elle arborait une chevelure de feu à faire pâlir le soleil. Malgré son air de grenouille morte, elle était tout de même sympathique. On l’appelait Blanche-Neige. Comme dans tous les contes de fées, Blanche-Neige était une princesse dotée d’une belle-mère vaniteuse et malveillante. A ce sujet, cessez de vous interroger sur tout ce tapage autour des belles-mères ! Les contes de fées sont responsables de ce lavage de cerveau qui a amené l’humanité à croire que les belles-mères sont méchantes. Ce n’est qu’une vue de l’esprit. La mienne, par exemple… n’est pas pire que les autres… Mais il faut bien avouer que celle de Blanche-Neige était un sacré numéro ! Et qu’elle fût Reine ne changeait rien à l’affaire…

La Reine admirait chaque jour son reflet au miroir, éprise d’elle-même, en pamoison devant la forme de ses sourcils et le teint de ses joues. De lourds antécédents familiaux de désordres mentaux entachaient son raisonnement, on la surprenait même parfois à discuter avec son miroir. Bref, un cas désespéré…

Pendant ce temps, Blanche-Neige gambadait dans le jardin, essayant tant bien que mal de profiter du soleil et de prendre un meilleur teint. Mais, albinos jusqu’à la moelle, elle ne retirait de ces sorties que des boutons étranges qui lui donnaient l’air d’une amanite tue-mouche.

Un jour, la Reine fut frappée d’une implosion de l’inconscient qui lui donna un sentiment de rejet intense et universel. Elle crut même entendre son miroir se foutre de sa tronche en lui affirmant que sa belle-fille « tue-mouche » était beaucoup plus jolie qu’elle. Aussitôt la Reine courut jusqu’au jardin et annonça solennellement à Blanche-Neige qu’elle était virée, transformant notre amanite tue-mouche en amanite vireuse (si ces histoires d’amanites vous plongent dans la confusion, faites vos recherches dans Google Image et cessez de geindre !).

En larmes, Blanche-Neige fit sa valise, y plaçant délicatement deux robes, quatre « petits hauts qui vont avec tout », trois souliers, un casse-croûte et un tube de crème auto-bronzante. Puis elle tailla la route.

Comment appeler cela : le hasard, le sort, le destin ? Qu’importe le terme ! Toujours est-il qu’une force surnaturelle se mit à orchestrer les événements afin que Blanche-Neige ne termine pas sa vie dans des quartiers malfamés. A peine eut-elle quitté sa belle-mère qu’elle rencontra un médecin spécialisé en texture de pommes rouges. Ne riez pas ! Il faut se spécialiser de nos jours… Le bon docteur, constatant que Blanche-Neige était en voie de clochardisation, lui offrit un emploi de secrétaire dans son cabinet de médecine méta-fabuleuse. Ce cabinet réunissait sept spécialistes, affectueusement appelés les sept nains. Pourquoi les sept nains, me demanderez-vous ? Parce que Blanche-Neige et les sept spécialistes en médecine méta-fabuleuse eut été un titre décidément trop ennuyeux pour les enfants. On opta donc pour les sept nains, bien que les sept gaillards mesurassent plus d’1m80. Mais en les plaçant à côté de girafes, ils paraissaient minuscules. Donc, tout baigne…

Blanche-Neige prit immédiatement ses fonctions dans son nouveau boulot. Elle fit tranquillement la connaissance des sept médecins, que voici : Prof, déjà cité, spécialiste en texture de pommes rouges, Grincheux, spécialiste en aérodynamisme du cuir chevelu, Atchoum, spécialiste en contusions de l’index et du majeur, en voie d’obtenir une certification en contusion du gros orteil gauche, et Dormeur, spécialiste en réveils d’après hibernation et conseiller en matelas.

Blanche-Neige s’épanouissait un peu plus chaque jour dans son métier de secrétaire médicale. Il faut dire que son physique l’avantageait : à la vue de sa pâleur les fébriles se réjouissaient de leur teint rubicond et à celle de sa chevelure les

enfants atteints de rougeole se sentaient rassurés. Certes, elle prenait moins de bains de soleil, mais, au moins, elle avait maintenant un salaire et pouvait tester une plus grande variété de crèmes auto-bronzantes. Prof tentait d’ailleurs de dissuader Blanche-Neige de les utiliser : « Si une de ces crèmes arrive à te faire bronzer, tu seras désormais appelée Brune-Neige, ce qui sera très mauvais pour ta carrière ! » Mais Blanche-Neige, malgré sa candeur, avait aussi une tête de cochon incomparable et ne changea en rien ses habitudes.

Croyez-vous que je ne comprenne pas ce qui se passe en vous, à cet instant du récit ? Oui, oui, je m’adresse à vous, chers lecteurs. Vous vous dites : « Eh bien… il devait présenter sept médecins et il n’en a présenté que quatre ! » Outre le fait que ce détail est d’une insignifiance titanesque, il fait également partie de la vie intime de ce cabinet. Que simplet soit un éminent proctologue, Timide un gynécologue de renom et que la spécialité de Joyeux ne puisse être évoquée ici sans risquer les foudres de la censure, n’ajoute rien à notre histoire. Alors pourquoi perdre toute votre concentration et vous mettre dans tous vos états pour si peu ? Ressaisissez-vous et poursuivons !

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Un jour, une cliente entra dans le cabinet médical et discuta longuement avec Blanche- Neige. Parmi les sujets abordés : la pluie, le beau temps, la mode et le mascara. Tout le contenu d’un magazine Femme Actuelle en moins de quinze minutes ! Une aubaine… Après avoir tourné et retourné ces profonds sujets en tous sens, la cliente sembla prise d’un sentiment d’attachement irrépressible envers Blanche-Neige et lui offrit une pomme. Blanche-Neige y croqua… et tomba immédiatement dans un profond coma. C’était une pomme empoisonnée, évidemment. Cette cliente était en fait la Reine, déguisée pour mieux tromper son monde et bien décidée à ce que les jours de Blanche-Neige cessent de couler paisiblement en compagnie des sept nains.

À 824 kilomètres de là (soit 185 lieues et quelques toises, pour les puristes), sept souris s’ennuyaient à mourir car leur maîtresse, qui s’appelait Cendrillon, était en cavale depuis une éternité avec son prince charmant. Pour passer le temps et être utiles à la société, elles ouvrirent une agence de rencontre. A nouveau, le hasard – ou le sort, ou le destin – fit son œuvre et les sept nains tombèrent sur une publicité provenant de cette nouvelle agence prometteuse. Ils se concertèrent et décidèrent de placer une annonce dans le journal pour caser leur secrétaire comateuse : « Jeune femme plutôt paisible cherche prince ».

Le premier appel fut le bon. Un prince vivant tout près désirait rencontrer Blanche-Neige dans les plus brefs délais. Les sept nains injectèrent donc 7 millilitres de résine de sabot de gnou dans les veines de Blanche-Neige afin de l’extirper temporairement de son coma pour qu’elle puisse embrasser son prince et ainsi revenir à une vie normale. Et, surtout, s’occuper des dossiers qui s’accumulaient au cabinet des médecins ! Bien que le remède temporaire fonctionnât, il laissa Blanche-Neige dans un état de confusion plutôt inquiétant. Mais qu’importe ! Ce n’était que pour un laps de temps très court.

Le prince fixa le rendez-vous dans un château qui faisait chambres d’hôtes, dans la suite 224. Blanche-Neige s’y rendit. Ou plus exactement, elle crut s’y rendre. Car en fait, la confusion la poussa à se rendre chez sa belle-mère !

Elle perdit un temps fou à compter les chambres qui n’était pas numérotées au château de la Reine, d’autant qu’elle raclait fort du gosier en raison du petit morceau de pomme empoisonnée qui y était resté coincé. Elle pénétra enfin dans la 224ème. La pièce était plus sombre que le trou du cul d’un nègre (Je me dois ici d’ouvrir une nouvelle parenthèse. Ne voyez rien de péjoratif dans cette annotation ! Il ne s’agit que d’une image pour mieux vous faire comprendre la noirceur du lieu. L’un de mes amis à la peau noir ébène ne s’en est d’ailleurs pas offusqué. Il m’a simplement déclaré, avec un air étonné : « Je ne savais pas, présentement, que dans le cul des blancs il y eût de la lumière ! » Fermons la parenthèse !). Elle entendit une profonde respiration provenant du lit. Elle s’approcha à pas feutrés et se pencha pour embrasser son prince. Vous vous doutez de la suite. Son prince était en fait la Reine, qui dormait d’un sommeil d’ours brun en plein cœur de l’hiver. Elle embrassa donc la Reine, qui se redressa brusquement sur son séant en s’époumonant : « Quoi ? Quoi ? De quoi s’agit-il ? ». Ce faisant, elle ingéra le morceau de pomme empoisonnée qui était passé de la bouche de Blanche-Neige à la sienne et sombra immédiatement et à son tour dans le coma.

Revenant définitivement à la vie et à la raison, Blanche-Neige proféra : « On est toujours puni par où on a péché ! ».

Quoi ? Vous vous attendiez à une réplique plus glorieuse ? Je vous rappelle gentiment que Blanche-Neige était confuse. Injectez-vous 7 millilitres de résine de sabot de gnou et cela vous guérira de cette fâcheuse tendance à juger trop hâtivement les personnages de contes de fées !

La reine finit ses jours sous perfusion dans divers hôpitaux où elle mourut dans d’atroces souffrances, le Prince passa le reste de son existence à sillonner le pays pour y visiter tous les châteaux à la recherche d’une hypothétique chambre 224 (qu’il finit par trouver dans un asile d’aliénés) et les sept nains se préparèrent des jours sombres en épousant les sept souris.

Quant à Blanche-Neige, elle reprit son boulot avec tant ardeur qu’elle devint la directrice du cabinet médical et s’employa à faire trimer les sept médecins comme jamais. Elle se teignit les cheveux en blond et poursuivit inutilement ses efforts pour donner à son teint quelques couleurs, faisant la fortune des fabricants de crèmes auto-bronzantes.

C’est ainsi qu’elle mena une vie riche et intéressante en restant célibataire, ce qui lui évita d’avoir une tripotée d’enfants, estimant qu’elle avait mieux à faire dans la vie…

Jean-Marie Dumarquez

Souvenirs, souvenirs !!!..

Grâce à Dominique Lesay (la mémoire de notre amicale !) nous remontons le temps, comme dans un film fantastique.

Laissons le nous raconter…..

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« En ce temps là les dames mettaient leurs robes longues et les messieurs endossaient leurs smokings.

C’était le temps où existait l’union des Provinces. L’Union regroupait toutes les Amicales régionales ayant leur siège à Toulouse.

Chaque année avait lieu la soirée dansante de l’Union.

La première à laquelle j’ai assisté était en 1957.

A l’époque de très nombreuses Amicales existaient à Toulouse : les gens de l’Est, la bretagne, la provence, la corse, le pays basque, la gascogne, l’ aveyron, la savoie et beaucoup d’autres, sans oublier bien entendu les Gars du Nord.

Toutes les Amicales avaient un groupe folklorique et nous avions un très beau groupe avec des boulonnaises et leurs fameuses coiffes ainsi que nos chers mineurs.

Tous les ans se déroulait au sein de chaque Amicale l’élection de la reine et de ses demoiselles d’honneur.

(C’est ainsi que le jour de notre mariage, à la basilique Saint Sernin, nous avons eu la surprise d’avoir à la sortie une haie d’honneur formée d’une quinzaine de boulonnaises et de mineurs.)

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Les premières soirées de l’Union avaient lieu dans les salons de l’ex Grand hôtel de la rue de Metz, puis au Cercle des Officiers (rue du Lt Colonel Pélissier), puis à la Rotonde du Parc des expositions et enfin dans la très belle salle des fêtes de Castelginest.

Deux cents personnes, environ, y assistaient chaque année. Chaque Amicale venait avec son groupe folklorique au grand complet.

Tous ces groupes défilaient, au son de leur musique régionale, avec à leur tête la reine au bras de son Président.

En 1983, notre président Pierre Roussel, étant souffrant, m’avait demandé de le remplacer et c’est ainsi que j’ai défilé au bras de notre reine qui était … ma fille Marianne.

La reine des Provinces et ses demoiselles d’honneur étaient élues ce soir là. Elles recevaient de très jolis cadeaux et le traditionnel bouquet de fleurs.

Le temps passa et ces soirées devinrent des repas dansants et chaque fois l’organisation et le choix du menu (régional, bien sur) revenait à une Amicale différente.

Les Gars du Nord organisèrent les soirées en 1984 et en 1995.

Et voici le menu de 1984…

Anguilles fumées sur toast

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Flamiche aux poireaux

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Lotte à la Dunkerquoise

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Lapin aux pruneaux et sa garniture de légumes

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Salade d’endives

Fromage de Maroilles

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Glaces et sa gaufre fourrée du Nord.

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Café

Genièvre de Wambrechies

Bénédictine de Fécamp

Vin rouge de Toulouse

Vin blanc de Gaillac

Bière Pelforth pression à discrétion.

Et celui de 1995 :

Chuche Mourette en apéritif

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Soupe à la bière

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Waterzoï de Saint –Jacques et de Lotte

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Carbonade flamande

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Chicons

Fromage de Maroilles et du Mont des Cats

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Tarte à la cassonade

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Café et sa bistouille de Wambrechies

Vin de Gaillac

Bière pression.

Mais la plupart des Amicales disparurent, faute de combattants… et le dernier repas dansant eut lieu en 1999 et fut organisé par les corses.

Notre fidèle reporter écrivait dans le Beffroi n° 12 d’avril 1996 :

« L’union des Provinces devient une véritable peau de chagrin, qui chaque année se rétrécit de plus en plus.

On peut regretter l’absence de certaines Amicales. Elle est compréhensible pour les Gens de l’Est endeuillés par le décès de notre ami Camus. Mais ou sont passés, les autres amicales ? Le Quercy, le Tarn, l’Auvergne, la Lozère, le Berry, les Antilles, l’Outre-mer et toutes celles dont on ne parle plus.

Pour le moins que les responsables fassent acte de présence !

La prospérité de l union n’est que l’addition de toutes les provinces ! »

Depuis, l’Union a totalement disparu et, il ne reste que très peu d’Amicales, quatre ou cinq au plus et encore….

C’est à l’occasion de l’une de ces fameuses soirées que notre géant, Jehan de Flandre, fit sa première sortie en 1964.

C’est en passant entre les mains expertes d’Albert Meurisse qui l’opéra tel un chirurgien spécialiste, que Jehan devint Zulma.

La relativité d’Einstein

Il en est ainsi de certaines explications. On ne les comprend pas toujours.

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Pourtant, quelques-unes, paraissant à priori très compliquées, deviennent en fait très compréhensibles.

Un exemple ! La relativité d’Einstein. Allez donc voir sur Internet ou dans une revue spécialisée. C’est à n’y rien comprendre. Mais à côté de ces théories alambiquées, Einstein lui-même fournissait une explication bien plus claire :

« Placez votre main sur un poêle une minute et çà va vous sembler une heure.

Asseyez-vous auprès d’une jolie fille une heure, et çà vous semble durer une minute.

C’est çà la relativité ! »

C’est simple, non ?

Jean-Paul HUART

Un weekend à la montagne…

Vendredi-samedi-dimanche 7, 8 et 9 juin 2013

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Dominique et Gégé vous proposent un week-end dans le secteur d’Arreau (65).
Au programme :
– Arrivée le vendredi 7 dans la soirée entre 18 et 22 Heures en fonction des disponibilités de chacun afin de profiter
pleinement de la journée du samedi (environ 1H 30 de route).
– Samedi : Les randonneurs auront la possibilité de partir vers les sommets autour de St Lary pour la journée. Les autres pourront aller au marché de Sarrancolin le matin et visiter le joli village thermal de St Lary l’après-midi.

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Dimanche : Le matin, nous aurons la possibilité de faire du « Rafting » sur les eaux de la Neste pour les plus téméraires. Partie de carte, de boules ou de « Molkky » ou grasse matinée pour les autres… Nous devons rendre les gîtes en début d’après-midi.

Comme l’année dernière, nous amènerons les victuailles pour le weekend (achetées à Toulouse par Gégé et Momo). Les gîtes se composent de 3 bâtiments juxtaposés, ils sont équipés de lits superposés (4 à 7 places par chambre), couchage sur canapé convertible, salle à manger, salles de bain avec douches et WC.

Il n’y a pas de chambres individuelles !

Si le temps le permet des tables de pique-nique seront à notre disposition devant les gîtes ainsi que 2 barbecues.
La participation de chacun aux frais sera de 30 € (prix comprenant la location des gîtes et les dépenses pour les quatre repas et les deux petits déjeuners). En fonction des achats effectués il sera susceptible d’être revu à la hausse. Le covoiturage est conseillé afin de limiter les coûts de transport. Les noms des participants et adresses des gîtes vous seront communiqués quelques jours auparavant.
Chacun amènera ses effets personnels, chapeau, crème solaire, chaussures de marche…
Les pâtisseries ou extras ne seront pas refusées.

Les draps et couvertures sont fournis par le loueur.

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Le nombre de places étant limité à 26 couchages, dépêchez-vous de renvoyer le bulletin d’inscription !

Les réservations se feront comme d’habitude auprès de Gégé par courrier ou mail et envois des chèques de réservation.

Pique-nique de juillet

Le 7 Juillet à Notre-Dame d’Alet

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Nous pique-niquerons cette année à Notre-Dame d’Alet dans la commune de Montaigut-sur-Save.

RENDEZ-VOUS A MIDI sur place pour un apéritif offert par l’Amicale.

Chacun amènera sa glacière, son couvert, son repas et sa boisson. On pourra également amener sa table et ses chaises. Enfin, les amateurs n’oublieront pas leurs boules de pétanque, leurs cartes à jouer ou tous autres accessoires qu’ils estimeront nécessaires. Merci de vous inscrire en nous retournant le coupon-réponse de façon à ce que nous puissions organiser au mieux cette journée avec l’association qui nous accueille.

Pour vous rendre à Notre–Dame d’Alet : Rejoindre l’A62 et prendre la direction de Blagnac Aéroport (sortie 31). Rejoindre le fil d’Ariane puis la Voie lactée. Prendre la sortie à gauche D902/Mondonville/Aussonne et rejoindre la N224. Traverser 7 ronds-points. Tourner à droite vers Chemin de Notre-Dame d’Alet.

Vous êtes arrivés !

Moules-frites traditionnel

Le 2 juin 2013 à midi

moules frites

Nous nous retrouverons une nouvelle fois au restaurant Le Cabanat de Portet-sur-Garonne (8 Chemin des Genêts 31120 Portet-sur-Garonne) pour un moules-frites traditionnel.

Menu
Salade nordique

(salade, tomates, crevettes, saumon fumé et croutons)

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Moules Frites

Bière 1664 (pichet) ½ L par personne

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Bavarois aux poires

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Café

Le prix de ce « moules-frites est fixé à : 20€ pour les amicalistes, 6,5€ pour les enfants de moins de 12 ans et 21€ pour les invités.
Pour les personnes ne mangeant pas de moules, le chef vous propose un faux filet sauce aux champignons servi avec des frites.
Afin de faciliter les inscriptions, vous pouvez appeler Monique au 06.87.46.74.48 ou au 05.61.72.53.58 ou lui envoyer un mail à monique.huart@wanadoo.fr.

N’oubliez pas d’envoyer vos coupons d’inscriptions.

Pour s’y rendre : Rejoindre le centre commercial de Portet-sur-Garonne. Le Cabanat se situe dans la petite zone industrielle située derrière Conforama.

Loto de printemps

Dimanche 12 mai 2013 à 14h30

Organisé par l’AMICALE DES GARS DU NORD
Au « CENTRE D’ANIMATION LALANDE », 229, avenue de Fronton, 31200 TOULOUSE.
De nombreux lots à gagner !

1 carton : 3€ 3 cartons : 8€
7 cartons +1 carton gratuit : 16€

Avec bien évidemment et comme d’habitude, nos crêpes et pâtisseries du nord accompagnées d’une bonne bière pression.

RESERVEZ VOTRE APRES-MIDI !

Pas de rallye cette année !

Nous vous l’avions annoncé dans le calendrier prévisionnel des sorties de l’année mais nos emplois du temps trop chargés ne nous permettent pas de vous organiser le rallye-promenade 2013.
Pour ne pas manquer une occasion de s’amuser, nous nous retrouverons autour d’un moules-frites au restaurant Le Cabanat de Portet-sur-Garonne le 2 juin (plus d’informations ci-dessous).
C’est promis, les Gentils Organisateurs se rattraperont l’année prochaine !