J’ai tout de suite pensé à DSK

En Juillet, nous sommes partis, mon épouse et moi, dans le Nord. Nous avons fait étape dans un hôtel de CHARTRES, dont nous voulions visiter la cathédrale.

La nuit s’est bien passée. Le matin, je prends ma douche. J’en sors et j’enfile mon pantalon. A ce moment, j’entends un bruit de serrure. Je regarde vers la porte qui s’entrouvre et, dans l’encoignure, j’aperçois le visage de la femme de chambre qui me regarde, stupéfaite ! Elle pensait que la chambre était vide ! Son visage n’a pas changé de couleur…. car elle était noire ! Mais j’ai compris qu’elle était en plein désarroi !

J’ai failli éclater de rire en ayant, forcément, une pensée pour DSK !  

Les commentaires à la télé

Après le début de l’affaire, avez-vous remarqué cet incroyable défilé de personnalités, invitées à faire part de leurs commentaires ?

Leurs commentaires consistaient surtout à dire qu’ils n’avaient rien à dire. La présomption d’innocence, l’absence de témoin (évidemment !) dans la suite qu’occupait DSK, font que nous avons eu droit à une pléiade de commentaires faits par des commentateurs qui n’avaient aucun commentaire à faire sur une affaire pour laquelle ils avaient accepté de venir commenter.

Pour toutes ces personnes venues dire à la télé qu’il n’y avait rien à dire, le pire, peut-être, était de ne pas être invité à la télévision.

Quant à moi, pour revenir à ma chambre d’hôtel de CHARTRES, heureusement, je ne suis pas DSK, mais seulement JPH, et je suis nettement moins connu !

Jean-Paul HUART

Comment résoudre la crise !

Notre ami Jean-Pierre BOSSUT a quelques idées pour résoudre la crise. Il nous a adressé par mail un bon conseil à faire circuler sans modération, en précisant qu’il ne s’agit que d’une hypothèse mais que le raisonnement se tient…

Imaginons que le gouvernement Français concède à chacun d’entre nous une bourse de 500 euros pour relancer la consommation. Il s’agit bien évidemment d’une supposition…

– Si nous la dépensons au supermarché du coin ou en vêtement, cet argent part en Chine.

– Si nous dépensons l’argent en carburant, il part chez les Arabes.

– Si nous achetons un ordinateur, il ira en Inde.

– Si on achète des fruits et des légumes, l’argent va en Espagne ou au Maroc.

– Si on achète une bonne bagnole, notre fric va en Allemagne

– et si on achète des babioles, il part à Taïwan et n’aidera toujours pas notre économie.

La seule façon de maintenir l’argent en France, c’est de le dépenser en achetant du vin ou du champagne, si l’on considère que ce sont les uniques biens de consommation encore produits chez nous. Donc, en faisant la bringue, j’accomplis mon devoir civique…

Alors pour aider notre système économique national : PICOLEZ !

Pour info : la Fête de l’Eau a fait près de 400 morts au Cambodge tandis que celle du Beaujolais s’est déroulée sans aucun problème…

Jean-Pierre BOSSUT

Cafougnette

Cafougnette a été bien sage à l’école. En rentrant à la maison, sa maman lui dit :

— T’as été fort sage, min loute, j’sus fin bénache. Alors, té peux m’deminder chu qu’ té veux !

Alors Cafougnette :

— Ej’ veux pus y aller !

Le petit Cafougnette arrive à l’école.

— Tu as encore oublié de te laver la figure, dit l’instituteur. Il n’est pas difficile de deviner ce que tu as mangé ce matin pour ton petit déjeuner… Du café au lait !

— Nan, répond le gamin, cha… ch’étot hier !

Le petit Cafougnette est allé à l’école pour la première fois.

Son père rentre de la fosse et lui demande de lui raconter sa journée.

Alors le petit va au coin, met ses mains sur sa tête et dit :

— Ravise chu qu’ j’ai appris !