Journée Pêche & Pique-Nique

Samedi 27 juin à 11h

Un pique-nique exceptionnel !!!! Un pique nique original !!! Un pique-nique sans boulot pour les cuisinières…

Nous vous donnons rendez vous dans un cadre magnifique pour une journée reposante dans le paradis de la détente en famille.

Vous pourrez vous adonner à la pêche, au farniente, à la ballade, au rêve, à la sieste au doux murmure de l’eau …n’oubliez pas vos cartes, vos boules de pétanque, et autres jeux…. Et votre bonne humeur !!!

Mode d’emploi

Rendez-vous à 11h à la pisciculture du Laudot aux Cammazes. Pour vous y rendre voir le plan ci-joint.

Une fois au lac de St Féréol, prendre la direction des Cammazes et à environ 1 km après le lac, prendre le chemin sur votre droite (indiqué par un panneau : pisciculture du Laudot.)

Si perdu, nous appeler, voir numéro de portable au bas de la page.

Ceux qui veulent pêcher se feront une joie d’attraper leur truite pour le repas de midi…

Ceux qui ne veulent pas s’essayer à la pêche mangeront quand même de la truite… ou de la saucisse en cas d’allergie au poisson.

Tarifs

  • Prix de la journée (du repas) pour les amicalistes : 12€
  • Pour les invités : 14€
  • Pour les enfants : 5€

Le menu

  • Salade d’entrée avec rillettes de truite
  • Truite et frites
  • Crème brûlée
  • Vin et café compris

Il y a des toilettes…. Et un abri en cas de pluie !!! Et cerise sur le gâteau, le patron est ch’ti !!!!

Il faut impérativement vous inscrire auprès de Momo et Jipé par téléphone ou mail jusqu’au lundi 22 juin.

Afin d’organiser le covoiturage, merci de respecter la date limite d’inscription.

Nous avons testé, nous avons aimé !!

Information de dernière minute

Jean-Paul et Monique ont profité de leur séjour dans le Nord pour nous ramener du potchevleesch, du pâté à la bière et du pâté à la chicorée.

Si vous en voulez, contactez-les par téléphone ou par mail à monique.huart@wanadoo.fr ou au 05.61.72.53.58 ou au 06.87.46.74.68. Les chèques sont à faire au nom de l’amicale des gars du Nord. (Livraison le 8 mars, le 15 mars ou lors d’une prochaine sortie)

Tarifs :

· pâté à la bière (180grs) : 2 euros

· pâté à la chicorée (180grs) à 3 euros

· potchevleesch (800 grs) à 9 euros.

Un weekend à BOO SILHEN

12, 13 et 14 juin 2015

Afin de garantir votre place nous vous demandons d’envoyer un chèque de réservation (au nom de l’Amicale) de 20 euros par personne. Réservation jusqu’au 15 mars.

Ce chèque est à envoyer chez Gérard Gruyez – 34 boulevard des Galaxies 31130 Quint-Fonsegrives

Sans chèque, pas de réservation !!! Attention places limitées !!

Comme l’année dernière nous nous retrouverons à Boo Silhen (entre Lourdes et Argeles Gazost), où nous logerons dans les chalets de la SNCF grâce à Dominique et Marie Plonka.

Nous arriverons le vendredi 12 dans la soirée entre 18 et 22 heures en fonction des disponibilités de chacun afin de profiter pleinement de la journée du samedi. Il faut compter 2h45 de route.

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Adresse des chalets : 12, rue de la Gare – Boo Silhen

Le covoiturage et conseillé afin de limiter les coûts de transport.

Le samedi les randonneurs auront la possibilité de partir vers le cirque de Gavarnie pour la journée. Les autres auront le loisir d’aller visiter la région l’après-midi.

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Le dimanche matin promenade pour ceux qui le désirent, ou parties de cartes, de boules ou de « Molku » ou grasse matinée pour les autres.

Comme l’année dernière, nous amènerons les victuailles achetées à Toulouse par Gégé et Momo.

Le vendredi soir Potchevleesh et frites, en fonction des arrivées. Les autres menus n’étant pas encore établis, vous aurez la surprise à votre arrivée.

Nous aurons à notre disposition 5 gîtes de 6 couchages chacun (1 grand lit, 2 lits superposés de 90cm et un clic clac).

Chacun amènera ses effets personnels, chapeau, crème solaire, chaussures de marche, etc., les pâtisseries ou extras ne serons pas refusées.

Les draps et couvertures sont fournis par le loueur.

Le nombre de places étant limité, les premières inscriptions seront les premières réservées.

Le prix définitif ne pouvant actuellement pas être déterminé (car dépendant des achats de bouche), il vous restera entre 15 et 20 euros par personne à donner à l’issue du séjour.

Une sortie en bus dans les Pyrénées

Samedi 25 avril 2015

Au programme :

· 7h30 : départ de Lalande

· 9h00 : visite d’une fromagerie à Lombres avec dégustation de fromage de la vallée de Barousse.

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· 11h00 : visite guidée de la cathédrale de St-Bertrand du Comminges

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· 12h30 : apéritif dans la nature, près du bus.

· 13h00 : repas au chalet de St-Nérée à Ferrere

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· 15h00 : maison des sources. Découverte et observation du cycle de l’eau au moyen de maquettes interactives qui retracent le parcours de l’eau, son captage à la source jusqu’à son arrivée à la station d’épuration.

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· Retour prévu à Lalande vers 18h30.

Prix :29€ par amicaliste, 10€ par enfant et 35€ par invité.

Menu

Tian au chèvre chaud

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Bœuf bourguignon – pommes de terre vapeur

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Tarte aux pommes

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vin – café

Le plat pays

L’ombre de Jacques Brel plane tout au long des 40 kilomètres de plages de sable blanc qui, ignorant la frontière, conduisent de DUNKERQUE (France) à NIEUWPOORT (Belgique).

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Dans les dunes, au milieu des argousiers et des touffes d’oyat qui retiennent le sable, les paroles du « plat pays » s’imposent aussitôt. « Avec la mer du Nord pour dernier terrain vague. Et des vagues de dunes pour arrêter les vagues. » …

L’hiver, la pluie tombe sur le rivage, poussée par le vent du Nord. Mais au printemps, « quand le vent est au rire » et le ciel azuré, une balade sur ces plages devient un régal. Au fil des saisons, un regard porté à l’infini fait encore songer à Brel : « Avec des cathédrales pour uniques montagnes et de noirs clochers comme mâts de cocagne… ».

Que l’on soit au nord du nord de la France ou au sud de la Belgique, ces rivages font l’objet de l’attention de moult associations et des collectivités locales. Il existe de nombreuses réserves naturelles.

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Cette région a été autonome, sous les comtes de Flandre, jusqu’au XIVème siècle, puis bourguignonne, espagnole, autrichienne, enfin française ou belge. Côté belge, on parle encore le flamand au quotidien, beaucoup moins du côté français. Les lieux, objets ou plats traditionnels, waterzoï ou potjevleesch, ont des noms aux consonances étranges.

Si le front de mer est le royaume des sternes, gravelots et autres oiseaux aquatiques, les dunes et zones humides abritent plutôt crapauds, libellules, alouettes lulus et bruants de marais.

C’est un pays de polders gagné sur la mer. Ce sont les moines qui ont lancé le mouvement au Moyen-Age. En introduisant drainage et digues, ils ont façonné au XVIIème siècle le paysage tel qu’on peut le voir aujourd’hui. A l’été, le plat pays est celui du blé et de la pomme de terre, mais aussi celui de la « violette du nord », le lin.

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En Belgique, Nieuwport, village de pêcheurs, est devenue une jolie cité balnéaire de 11000 habitants qui se compare à notre Touquet. Une très belle promenade relie la plage à la vieille ville. On peut déguster un succulent poisson frais dans les restaurants. Si l’on dispose de toute la journée, on peut emprunter le tramway qui longe la côte jusqu’à la frontière hollandaise, en deux heures, et qui permet d’admirer villages côtiers, plages et dunes.

Ces paysages d’eau, de canaux, de sable blanc et de dunes, se retrouvent à Dunkerque et Gravelines. Ces villes qui ont subi tant de conflits au fil des siècles, sont désormais une terre d’industrie lourde (raffinerie, centrale nucléaire). Dunkerque est le troisième port français. Une des places de la ville abrite la statue de Jean Bart, corsaire de Louis XIV, véritable mythe local qui aurait sauvé Dunkerque de la famine en 1698.

A Gravelines, on peut découvrir les fortifications en forme d’étoiles, intactes, de Vauban.

On peut terminer cette visite du plat pays à Malo-les-bains, y déguster d’excellentes bières dans les bistrots de la plage, écouter la mer et regarder une dernière fois le sable blanc de la plage.

Jean-Paul HUART

Opinion

Voici une autre réflexion sur Charlie, plus approfondie mais aussi plus sujette à discussion, qui prouve que les avis sont très partagés.

Vous avez dit Charlie ?

Il y a toujours des abrutis de dieu quel que soit le nom qu’ils lui donnent, des enténébrés de dogmes, pour se lever et combattre tout ce qui fait l’être humain et sa dignité : son esprit critique, sa liberté de penser.

Jusqu’au 7 janvier dernier, on pouvait naïvement croire que les fanatiques religieux − des intégristes catholiques voulant faire interdire des spectacles « blasphématoires » aux exaltés islamistes prétendant empêcher la représentation de leur idole, sans oublier les fondamentalistes juifs qui prétendent asservir toute la Palestine au nom du Grand Israël biblique − ne s’en prenaient qu’à la liberté d’expression, ce qui était déjà s’en prendre au fondement de la démocratie. On sait aujourd’hui qu’ils sont tout aussi impatients de massacrer ceux qui ne leur ressemblent pas et ne partagent pas leurs élucubrations.

Je suis plutôt ulcéré par certaines réactions, même si le formidable rassemblement populaire spontané, qui a pris de court politiques et médias, aide à ne pas désespérer. Ulcéré parce que j’ai entendu parler de provocations à propos des dessins de Charlie hebdo. Comme si la provocation ne venait pas de ceux qui ont le culot de vouloir interdire les critiques de s’exprimer, de vouloir imposer silence à la planète ! Les caricaturistes ne font que répondre légitimement à l’arrogance des censeurs et chaque citoyen a une dette envers eux.

Il est, me semble-t-il, une évidence : le sacré des uns n’étant pas celui des autres, il n’y a que la tolérance pour nous permettre de vivre ensemble, celle que la laïcité réussit plutôt bien à organiser.

Malheureusement, des confusions viennent la contrarier. Il en est une particulièrement néfaste qui se focalise sur le terme d’islamophobie. Prétendant nous garder de tout racisme, elle entérine de fait une sorte de prohibition de la critique de l’islam et par extension de toute religion. Que sous-entend-elle ? Que l’hostilité à l’islam recouvre une hostilité aux Arabes ? J’entends bien que certains exploitent ce filon. Mais la confusion qu’elle apporte est au moins aussi dangereuse : tous les musulmans ne sont pas arabes et tous les Arabes ne sont pas musulmans ! Cette confusion procède au fond d’un racisme plus sournois, qui consiste à vouer un peuple à une religion, à l’y enfermer. Mais c’est là faire injure à tous ses membres, croyants ou non, en les imaginant incapables d’indépendance à l’égard du religieux. C’est notamment dénier tout crédit à ceux, athées, qui ferraillent contre le « sacré » qu’on veut leur imposer, comme ont ferraillé en Occident les philosophes des Lumières, plus tard les libres penseurs et enfin ceux qui ont conquis de haute lutte le privilège de la laïcité. Et l’injonction trop entendue – « Attention aux amalgames ! » – instaure un couvre-feu sur la mise en examen du fait religieux, et cela à cause de niais peut-être bien intentionnés mais qui se satisfont de la bonne conscience que leur procure une protestation facile.

Plus grave peut-être : cette confusion implique le présupposé que les religions seraient a priori respectables et par voie de conséquence non susceptibles d’analyses et de débats. Qu’elles aient été, toutes ou presque, à l’origine d’effroyables guerres et carnages est pourtant incontestable. Mais on ne peut occulter qu’elles sont aussi à la source de faits de civilisation et de démarches individuelles ou collectives d’ouverture aux autres, d’interrogations spirituelles et de progrès dans l’humanisation des peuples. Il est des croyants qui s’en tiennent à l’esprit, quand d’autres s’accrochent à la lettre (c’est même à ça qu’on reconnait les imbéciles : le littéralisme !) ; hélas, dans ce domaine la bêtise fait souvent de sérieux dégâts et ne pardonne pas…

Parler d’instrumentalisation politique des religions est une lapalissade sans grand sens : les religions ont, depuis toujours, une dimension politique prépondérante. La résurrection du fanatisme est l’occasion de s’en convaincre, sans pousser des cris d’orfraie en feignant de s’offusquer d’une « montée de l’islamophobie » qui n’est que le signe d’interrogations et d’une méfiance légitimes. Méfions-nous des religions parce qu’elles portent en elles cet absolu – la foi, la certitude pour le croyant de détenir la vérité – qui peut conduire à la négation de l’autre ! Les manifestations protestataires de certains musulmans contre les caricatures de Charlie Hebdo, comme la demande de certains intégristes catholiques ou autres évangélistes de créer un délit de blasphème, le démontrent. Et ce qui me navre est qu’il est des gens pour y souscrire au nom du « respect »… Mais il est vrai que la « bienpensance » est devenue la face réactionnaire de certains comme l’ordre moral fut celle d’autres. Il faut donc encore rappeler une évidence : le respect est dû aux personnes, pas à leurs croyances, leurs idéologies, leurs représentations du monde, leurs utopies.

Reste enfin la fraternité. Il n’y a pas besoin de dieu pour cela, les révoltés de tous les temps et de tous les pays l’ont montré, même si les révolutionnaires ont parfois hélas prouvé qu’on pouvait aussi l’assassiner avec la liberté. En tous cas, rien ne m’alarme plus que d’entendre parler de « frères en religion ». Car la fraternité est universelle, sinon le mot ne recouvre que l’esprit de clan : une fraternité de meute, d’un groupe ligué contre le reste du monde.

Sentiment qui fait évidemment défaut aux chiens de dieu (pardon pour les chiens), ce qui ne doit pas, il me semble, amener pour autant à les considérer comme des monstres. Non, hélas, ils sont des humains, comme le furent les nazis et tant d’autres fléaux des peuples, et quoique amputés de leur capacité d’empathie autant que de leur libre arbitre. Telle est la banalité du mal, qui fait que nous n’avons que la vigilance de la pensée et l’exercice de l’esprit critique, pour ne pas risquer un jour de leur ressembler.

Voilà ce que signifie pour moi être Charlie. En souhaitant du même coup aux misérables imbéciles qui nous endeuillent d’avoir un jour l’intuition qu’ils vont finir par rôtir aux enfers, puisqu’ils y croient.

Et que les crayons et les lettres finissent par l’emporter durablement sur les kalachnikovs !

Charlie

JMD

L’assemblée générale

Une soixantaine d’amicalistes s’était réunie chez Blanc en ce dimanche matin pour assister à notre assemblée générale annuelle.

Après le discours du président et l’annonce des sorties à venir (voir discours dans les pages précédentes) nous sommes passés à table pour apprécier la décoration effectuée avec soin par notre chère Momo.

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Nous nous sommes ensuite régalés avec les plats préparés par le restaurant et comme l’année dernière Mick Fontaine et son accordéon a su mettre l’ambiance en interprétant des classiques de la chanson française.

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Nous avons ainsi pu en profiter pour baptiser les nouveaux adhérents à l’amicale au son du « Vivat flamand ».

Une bonne journée passée avec les ch’tis !

Sabrina CODRON

DOIT-ON ETRE CHARLIE ?

A l’issue de l’assemblée générale du 18 janvier, une question a été posée : peut-on dire « nous sommes Charlie » ? Une minute de silence a été naturellement observée,  par respect pour cette équipe de « Charlie hebdo », les policiers et les autres personnes qui se trouvaient là au mauvais moment, assassinés dans des circonstances atroces.

Vous avez tous votre opinion sur le sujet. J’ai éprouvé le besoin de livrer la mienne.

Il est évident que je suis Charlie dans son malheur. Le bilan est triste. Nous déplorons la mort de17 victimes qui ne méritaient pas ce triste sort. Il faut ajouter trois morts que nous ne déplorons pas car, sous couvert de la religion, ce sont des assassins de la pire espèce.

C’est après ce constat que les avis peuvent diverger. Depuis le 7 janvier, tout le monde parle de «la libre expression ». Mais jusqu’où peut-on aller dans la libre expression ? A écouter certains, elle n’a pas de limites.

Charlie hebdo, émanation du journal Hara Kiri, qui se disait lui-même bête et méchant, a fini par trouver des monstres beaucoup plus bêtes et surtout bien plus méchants !

J’ai trouvé cette maxime, issue de la sagesse populaire, qui dit ceci : « L’humour, c’est de savoir que tout, absolument tout, est drôle. Du moment que c’est aux autres que ça arrive ».

Ces derniers jours, le pape a dit : « Insultez ma mère et je vous mets mon poing dans la gueule ! ». Réaction surprenante venant d’un apôtre de la non-violence ! Le pape lui-même n’aurait pas d’humour ? Ou tout simplement faut-il comprendre que l’humour a ses limites. La moquerie, la raillerie, s’expriment par une forme de mépris ou par des bravades. L’humour, poussé jusqu’à la satire, devrait s’arrêter avant l’insulte.

Le « canard enchaîné » de cette semaine (j’écris ces lignes le 24 janvier), résume la pensée de Cabu, Sharp et leurs collègues en disant qu’ils « vomissaient » toutes les religions. C’est donc cela l’humour ? Vomir ce que peuvent penser ou croire les autres ?

Peut-on penser que les « vomissures » de Charlie sont assimilables à de la haine ? Beaucoup le pensent et certains sont allés jusqu’à tuer pour cela !

L’humour de Charlie ne m’a jamais fait rire. Au nom de la libre expression, il n’est pas interdit en France mais j’ai le droit de dire que je ne suis pas (du verbe suivre) l’humour de Charlie.

Athées qu’ils étaient, ils devraient être maintenant dans le néant.

Si jamais ils se sont trompés, ils vont peut-être rire jaune car, catholique pas très pratiquant, je vais quand même dire une prière pour eux !

Jean-Paul HUART

Petite annonce : Un canapé à vendre !

Très joli canapé pratiquement neuf..car non utilisé…. à saisir

    Caractéristiques :   

  • Canapé 2 places avec 2 têtières en position relaxe séparément =  L 163 /H 79 /P101/ = Finitions très soignées : cuir vachette.

  • hyper confortable : Densité assise : 32 Kg/ M2. et dossier : 22Kg/M2

  • PRIX : A débattre. Autour de : 750 €  – Prix achat  : 2.100 €

  • Mobilier de France juillet 2011. Facture garentie.

  • Pour plus de renseignements TEL : 06.64.19.38.17.

canapé

LOTO

Important ……. Important………..

Vous trouverez ci dessous l’affiche pour notre loto.
Je vous rappelle que cette manifestation nous permet de financer notre association et surtout va nous permettre de relancer l’impression de notre Beffroi.
Venez nombreux, vous passerez une bonne après midi et amenez avec vous des amis, des copains, des voisins et même de la famille… car chez nous le temps est toujours à l’amitié.

Dimanche 23 novembre 2014

14 h 30

 

CENTRE D’ANIMATION DE LALANDE

239, avenue de Fronton, 31200 TOULOUSE LALANDE

LOTO Ouvert à tous

 

 Organisé par l’Amicale des Gars du Nord

 

Volailles, Longes de porc, Jambons,

Filets garnis, Vins fins, Fabrique à soda…

Un réveillon complet pour 4 personnes

(valeur 250 euros)

 

1 carton : 4 € – 4 cartons : 10 €  – 7 cartons + 1 gratuit : 16 €

 

 

Crêpes – Pâtisseries – Boissons