Notre loto programmé le 20 novembre 2011 n’aura pas lieu. En effet, ce jour-là, comme tous les dimanches désormais, la salle octogonale du Centre d’Animation Lalande est réservée aux activités théâtre et le gymnase est attribué à une association handisport. Seule l’ancienne salle de cinéma de Lalande reste à notre disposition, mais sa capacité d’accueil trop faible nous a fait renoncer à y tenir notre loto. Nous avons renoncé également à rechercher une autre salle, notre « clientèle » habituelle résidant sur le quartier de Lalande. Après le désistement de la Banque Populaire concernant l’envoi de notre Beffroi, c’est un nouveau coup porté à notre trésorerie. Tenterait-on, dans notre beau pays, d’empêcher les associations d’exister ?
Étiquette : sorties
Quid de Saint-Nicolas ?
Certains pourraient s’étonner que nous ne fêtions plus Saint-Nicolas.
La question en a été débattue lors de notre dernière réunion du bureau, après l’amer constat que le nombre d’enfants à l’Amicale se dénombrait sur les doigts d’une seule main, qui plus est des enfants : ou trop jeunes pour comprendre le sens de cette tradition, ou trop âgés pour apprécier véritablement cet évènement.
Nous avons donc décidé, cette année encore, de « zapper » Saint-Nicolas.
Pour que cette tradition ne se perde pas, nous ne pouvons qu’inciter les Amicalistes à procréer…
Un moules-frites à la taverne de maître Kanter
Le 4 décembre dernier, nous nous retrouvions sur les Champs-Elysées toulousains pour partager un moules-frites traditionnel, une sortie initiée par nos amis Yolande et Gérard GRUYEZ. Peu de choses à dire sur ce grand classique de nos rencontres, si ce n’est d’observer, sur les photos de Monique HUART et de Julien CODRON, le plaisir manifeste que prennent les Gars du Nord à se retrouver autour d’une bonne table…
La poésie d’un moules-frites échappe au commun…
Seuls de vrais Gars du Nord peuvent en apprécier le charme et la beauté…
Tel père, tel fils !
Chez nous, l’éducation des enfants commence très tôt et l’exemple du père est primordial.
Le petit Paul est sur la bonne voie : les moules et les frites ravissent déjà ses papilles gustatives et, à la façon dont il lorgne sur la bière, on subodore qu’il ne tardera pas à faire sien le divin breuvage…
« La valeur n’attend pas le nombre des années » : un bon demi non plus !
Jean-Marie DUMARQUEZ
Soirée information croisière amicaliste
Une réunion réservée à nos Amicalistes se tiendra le mercredi 23 novembre 2011 à 19 heures à l’ancienne salle de cinéma de Lalande (impasse entre le Bar des Sports et La Maison de Justice et du Droit, 217, avenue de Fronton, 31200 Toulouse) pour une séance d’information sur notre croisière en Méditerranée d’octobre 2012, avec le concours du voyagiste que nous avons chargé de l’organiser.
Un film documentaire vous sera présenté à cette occasion et il sera répondu à toutes vos questions.
Pour tous renseignements complémentaires, vous pouvez contacter Monique HUART au 05 61 72 53 58 ou lui adresser un mail : monique.huart@wanadoo.fr .
le Mölkky
Il semble que notre vénérable secrétaire connaisse bien son président. Monique HUART ne se contente pas d’être une fine mouche, elle sait anticiper. Pressentant quelques réflexions bien senties à l’encontre des joueuses de Mölkky de l’Amicale, elle n’a pas attendu la sortie du présent numéro du Beffroi pour exercer son droit de réponse en saisissant l’occasion de révéler à tout un chacun les mystères d’un jeu venu du Grand Nord…
Lors de notre dernier pique nique à moitié ensoleillé, nous avons découvert grâce à Sabrina et Julien, un jeu venu d’un pays encore plus nordiste que le nord, un jeu au nom imprononçable : le Mölkky.
Petit aparté pour les membres féminins de l’amicale
Mes copines de l’amicale, il paraît que nous avons mis du temps pour acquérir les 50 points gagnants.
Faribole, faribole, c’est parce que nous nous sommes appliquées à bien intégrer les règles du jeu, la technique, et le geste gracieux du lancer… que la partie a été un peu plus longue que celle de ces messieurs qui, eux, bâclent tout dans la précipitation.
Donc, afin de nous préparer au prochain tournoi de Mölkky de l’amicale… entraînez-vous, entraînez-vous pour ne pas être en butte aux critiques de ces messieurs !
Vous n’avez pas de mölkky chez vous ?
Qu’importe : votre homme doit bien avoir, dans ses outils au fond de son garage, une pioche. Récupérez le manche et coupez-le en rondelle de 15 cm environ grâce à une scie sauteuse que toute bonne ménagère doit avoir dans sa caisse à outils. Installez le jeu dans votre jardin ou votre salon (pensez à dégager les choses fragiles qui ornent vos meubles) et entraînez-vous avec grâce et efficacité au lancer du mölkky.
Pour vous aider dans vos exercices et pour ceux et celles qui ne connaissent pas, voici ce qu’est le Mölkky.
Le Mölkky (prononcé [mølkky] ou « meulku ») est un jeu d’adresse finlandais. Originaire de la région méridionale du Päijät-Häme, il se pratique en plein air. L’objectif est de marquer exactement 50 points en renversant des quilles numérotées de 1 à 12.
Composition et règles du jeu
Les quilles
Ce sont des morceaux de bouleau ronds biseautés à la tête. Sur cette partie, le numéro de la quille apparaît ainsi au joueur qui lance. Les douze quilles sont placées (les numéros face aux joueurs) au départ de la partie dans un ordre précis en quatre rangées, un peu comme au billard.
Le début du jeu
Le joueur lance le mölkky (le bâton « neutre », celui qui n’a pas de numéro) dans l’édifice placé à 3 ou 4 mètres. Le score du joueur dépend du nombre de quilles renversées :
· s’il fait tomber une quille, il marque la valeur de la quille ;
· s’il fait tomber plusieurs quilles, il marque le nombre de quilles tombées ;
· si une quille n’est pas complètement allongée au sol et qu’elle se trouve en équilibre sur une autre, elle n’est pas comptée.
Les quilles tombées sont ensuite relevées là où elles se trouvent. Ainsi la configuration de l’aire de jeu évolue. Chaque joueur réalise un jet à son tour, et il est fait autant de tours que nécessaire.
Si un joueur (ou une équipe) ne marque pas de point trois fois de suite il est éliminé du jeu.
La fin du jeu
Il s’agit de marquer exactement 50. Si le score est dépassé, le score du joueur redescend à 25 points.
Donc à l’approche des 50 points, le joueur doit être prudent et ne renverser que la ou les quilles susceptibles de lui faire atteindre 50 par leur valeur (si une seule quille tombe) ou leur nombre (si plusieurs quilles tombent). Si par exemple son score est de 48, le joueur doit faire tomber deux quilles quelconques ou la quille numéro 2 et seulement celle-ci. Si le score est de 49, la seule solution consiste à faire tomber la quille n°1 et aucune autre.
Le premier joueur à atteindre le score de 50 gagne la partie, qui peut se jouer en équipes (de deux à trois joueurs).
La stratégie
Ce jeu tient de la pétanque par le jet, du bowling par la recherche du renversement, du billard par la stratégie de choix des points et des interdits et des fléchettes pour le compte final.
Popularité en France
Durant les années 2000, le jeu s’est répandu en France, et plusieurs associations se sont créées autour du mölkky.
Depuis 2009, un championnat de France est organisé tous les ans. L’édition 2011 a eu lieu à Pacé et a réuni 256 équipes.
Championnats du monde
Ils sont régulièrement organisés à Lahti en Finlande depuis une quinzaine d’années. Ils se déroulent par équipe de 4 joueurs selon des modalités différentes de nos classiques affrontements directs. Depuis 2011, des championnats internationaux en simples, doublettes et triplettes sont aussi organisés.
En conclusion on peut dire que les finlandais sont astucieux, réussir avec quelques bouts de bois à faire un jeu qui est la synthèse de 4 jeux, c’est fortiche !!!
Nous ne savons pas, à l’heure où cet article est écrit, si nous atteindrons les championnats de France et encore moins les championnats du monde, mais nous savons que nous nous sommes bien amusés cet après-midi de pique-nique et que nous espérons pouvoir recommencer une partie de Mölkky avec encore plus de participants et participantes.
Vivent les joueurs et joueuses de Mölkky de l’Amicale !
Je me demande si nous pourrons emmener ce jeu durant la croisière….
Monique HUART
Sous le ciel de Minerve
Les Gars du Nord n’étaient pas tous réveillés à l’aube de ce dimanche 16 octobre 2011. Les yeux encore gonflés de sommeil, bercés par le roulis du bus qui les emmenait dans l’Aude, ils se laissaient aller à la douce torpeur de l’heure dans la chaleur naissante d’une journée qui s’avérerait ensoleillée.
Convaincus qu’elle serait à la hauteur de leurs attentes, ils étaient une petite quarantaine à s’être laissé séduire par cette sortie initiée par nos amis Monique et Jean-Paul HUART.
La pause-café sur une aire d’autoroute acheva de réveiller les plus endormis. Une fois « caféinés » et « nicotinisés » (pour certains), les Gars du Nord étaient au top pour découvrir les secrets de la fabrication du miel en terre minervoise.
René Malric, l’apiculteur, qui nous reçut dans sa « mielerie » à Talairan, est un passionné, un personnage haut en couleurs et à la langue bien pendue. Ce jour-là, son atelier faisait penser à un champ de bataille et son « laboratoire » semblait avoir été ravagé par une tempête. Il nous rassura en précisant qu’il avait procédé à quelque rangement pour nous recevoir correctement. Malgré ces conditions de travail « difficiles », il nous fit déguster un miel délicieux, intarissable sur sa production et sur les différentes façons de de l’améliorer. Sans nos impératifs horaires, nous aurions volontiers passé la journée avec lui.
Le repas tomba à point nommé après cette intense matinée culturelle au contact des abeilles. Les appétits étaient aiguisés et s’il est une chose avec laquelle les Gars du Nord ne plaisantent, c’est bien l’heure de passer à table…
Le restaurant « Le Dauphin », à Montserret, offre un menu copieux qui brille par l’absence de « ou » entre chaque plat proposé, ce « ou » si frustrant pour l’estomac affamé. Le « et » surgit à chaque ligne comme une promesse de bonheur pour le gastronome avisé. Et, ce qui ne gâche rien, la qualité des produits naturels est au rendez-vous.
Certains en portaient d’ailleurs avec bonheur les stigmates à la sortie…
Après le repas, nous reprîmes le bus pour effectuer les quelques kilomètres qui nous séparaient encore de Minerve où notre guide nous attendait. Cette jeune et élégante personne eut bien du mérite : les Gars du Nord, sous le coup d’une digestion difficile, étaient difficiles à canaliser. Mais le sourire de notre guide les incita rapidement à davantage de discipline en suivant avec attention un discours érudit, prélude à la découverte d’un site grandiose.
Cernée de gorges profondes taillées par la confluence du Brian et de la Cesse, posé à l’extrémité d’un plateau calcaire, Minerve est un village minéral au cœur de la garrigue languedocienne. Ancien bastion cathare détruit par Simon de Monfort en 1210, le village garde de cette époque une stèle en mémoire d’un bûcher cathare.
Capitale historique du pays minervois, cette petite commune accueille chaque année plus de 300 000 visiteurs. Trouvant dans le tourisme et la production de vins de qualité les deux piliers de son activité, Minerve a été inscrite à la liste des plus beaux villages de France. L’extraordinaire environnement naturel de la commune lui vaut l’essentiel de son attrait touristique, partagé avec sa tragique histoire.
Déambuler dans des ruelles étroites à forte déclivité relégua vite le repas de midi au rang des bons souvenirs. Les images fortes défilaient, avec le sentiment de se sentir moins « niaiseux » à chaque pas. Quand, en fin d’après-midi, la fatigue commença à alourdir les jambes des visiteurs, nul ne se fit prier pour regagner le bus.
Il nous restait près de deux heures de route pour regagner la Cité Rose, un temps que d’aucuns occupèrent à échanger leurs impressions de la journée, tandis que d’autres profitaient de l’occasion pour se livrer à un repos réparateur, comme en témoigne la photo ci-contre, prise avec un objectif à grande vitesse et haute résolution.
On notera sur le visage de l’un de nôtres en pleine action l’empreinte d’un sourire épanoui qui exprime une sorte de ravissement proche de la béatitude.
Mieux que des mots, cette photo prise sur le vif résume l’impression générale laissée par cette belle journée en pays cathare.
Jean-Marie DUMARQUEZ
Une journée dans l’aude
Le dimanche 16 octobre 2011
[eventlist]
Rendez-vous sur le parking du Centre de Loisirs de Lalande à 8 h 00 précises.
Place Riché, 239, avenue de FRONTON, 31200 TOULOUSE.
8 h 15: Départ du bus de TOULOUSE
Une pause est prévue en cours de route. Le café et les spéculos y seront offerts par l’Amicale.
10 h 00: Arrêt à TALAIRAN
Visite de la « miellerie » René Malric.
Dégustation de miel et achat éventuel.
12 h 00: Départ de TALAIRAN
12 h 30: Arrêt à MONTSERRET
Repas au restaurant « le Dauphin ».
14 h 30: Départ de MONTSERRET
15 h 00: Arrêt à MINERVE
Visite guidée du village.
A la sortie des gorges de La Cesse et du Briant, le village apparaît à l’extrémité d’un plateau calcaire bordé de falaises abruptes dans un fantastique paysage minéral et tourmenté. L’origine de Minerve semble antérieure à la forteresse des vicomtes du Minervois construite au XIèmesiècle. Reliée au causse par un pont-levis, celle-ci sera l’un des bastions cathares assiégés par Simon de Montfort en 1210.
Outre les vestiges du château du XIIème siècle, il faut voir le puits St Rustique car c’est sa destruction qui provoqua la reddition de Minerve. Il faut aussi visiter l’église romane dont certains vestiges datent du Vèmesiècle et le musée archéologique, parcourir les ruelles du village bordées d’antiques maisons sobrement construites en pierre du causse et goûter le vin local produit depuis des siècles par les vignerons minervois.
16 h 30: Temps libre.
Vous aurez 45 minutes pour flâner dans les vieilles rues et éventuellement réaliser quelques emplettes dans les nombreuses échoppes de ce site touristique.
17 h 15: Départ de MINERVE.
Arrivée prévue à TOULOUSE vers 19 heures maximum.
Les arrêts « toilettes » sont prévus sur les trajets « aller » et « retour ».
Merci d’être réactif en retournant rapidement le coupon-réponse ci-contre.
Prix de la journée : Adultes : 26 € ; Enfants (moins de 12 ans) : 13 € ; Invités : 32 €.
Vous le savez, l’équilibre financier de ce type de journée repose sur un nombre suffisant de participants. Plus le bus est rempli, moins la participation de l’Amicale est importante. Aussi, n’hésitez pas à inviter vos amis, votre famille et vos connaissances à partager ce grand moment de convivialité, en sachant que, même au tarif invité, le prix de cette sortie reste très attractif.
Un pique-nique de rentrée arrosé (?)
Les cieux n’étaient pas avec nous pour ce pique-nique de rentrée. A tel point que seule une vingtaine d’Amicalistes osa braver des prévisions météorologiques catastrophiques pour ce dimanche annoncé très humide.
En fait, si l’on excepte une température un peu fraîche pour la saison, la journée s’est déroulée sans réel désagrément atmosphérique. Ceux qui n’ont pas osé venir ont dû le regretter, d’autant que notre irremplaçable secrétaire a ouvert pour nous les portes du presbytère de Roques-sur-Garonne, nous permettant de manger à l’abri.
Si le ciel restait gris, l’apéritif offert par l’Amicale fut pris à l’extérieur. La convivialité des Gars du Nord les rend fatalistes : une ondée n’est pas de nature à gâcher leur plaisir de se retrouver pour passer ensemble un bon moment.
Le repas fut paradoxalement bien arrosé, mais au sec. Sans la défection de ceux qui craignaient les intempéries, les locaux se seraient avérés trop petits pour nous accueillir tous. Comme nous a dit Cafougnette : Final’mint, i z’ont bin fait ed’ pas v’nir !
Après le repas, il ne pleuvait toujours pas. Nous n’avions pas amené nos boules de pétanque (excès de pessimisme) et nous étions quelque peu désœuvrés. Heureusement, notre jeune ami Julien Codron a plus d’une corde à son arc et, prévoyant, avait apporté un jeu de Mölkky. Ainsi nous a-t-il initiés aux quilles finlandaises.
Pour ceux qui ne connaissent pas le Mölkky, je vous invite à lire (page suivante) l’excellent et très complet exposé de notre vénérable secrétaire qui prouve qu’elle maîtrise bien mieux la théorie que la technique. Mais n’anticipons pas…
Nous avions décidé de constituer 4 équipes (2 féminines et 2 masculines). Le hasard du tirage au sort vit s’opposer, dans un premier temps, les deux équipes masculines, ce qui n’était pas pour déplaire à ses éléments, conscients de ses avantages et soucieux de donner l’exemple dans cette discipline nouvelle pour tous les participants, ainsi que nous l’a sobrement fait valoir Cafougnette avec une de ses sorties frappées au coin du bon sens : Avec chés femmes, i vaut miux montrer qu’expliquer, sinon, cha va cor nous donner soif !
On notera l’attitude parfaite des joueurs, la maîtrise du geste, non dénuée d’une certaine beauté et de cette grâce virile qui force le respect, la sûreté du lancer et l’engagement total de ces équipes masculines jouant déjà comme de vrais professionnels, tandis que les équipes féminines se livraient à d’insignifiants papotages au lieu de tenter d’appréhender les rudiments de ce jeu en observant leurs seigneurs et maîtres… (du jeu, bien sûr…)
Bref, en moins de vingt minutes l’affaire était entendue, l’équipe gagnante ayant atteint très précisément le nombre de points exigés (cf les règles du jeu page suivante). Les équipes féminines entrèrent alors en lice.
On vit ainsi, deux longues heures durant, les équipes féminines rivaliser de maladresse et d’incompétence, sans parvenir à se départager faute d’obtenir l’exact nombre de points exigés par la règle du jeu, devant un public masculin atterré qui observait d’un œil déjà connaisseur les contreperformances féminines…
Les conseils prodigués avec bienveillance ne changèrent rien à l’affaire et, le soir tombant et des joueuses de moins en moins motivées nous empêchèrent de faire la belle. Cafougnette, avec sa verve légendaire résuma la situation en ces termes : à m’motte, cha dot ête un jux trop compliqué pour all’s aut’s !
Vous l’aurez compris, cette partie mémorable fut ponctuée d’énormes éclats de rire. Si nous ne sommes pas devenus des pros du Mölkky en ce 9 septembre, la journée fut, dans son ensemble, une réelle partie de plaisir.
Jean-Marie DUMARQUEZ
Et si nous partions en croisière …
Et si les ch’tis partaient s’amuser sur l’eau ! Pourquoi ne pas tenter cette expérience merveilleuse qu’est une croisière…
Nous vous proposons donc de partir en 2012 pour une semaine de croisière en Méditerranée.
A l’heure où nous mettons sous presse, le projet se présenterait comme suit :
Premier jour : embarquement à Marseille à 15 h (départ à 18 h)
Deuxième jour :
escale à Savone (Italie) arrivée 8 h départ 17 h
Troisième jour :
escale à Naples (Italie) arrivée 13 h – départ 19 h
Quatrième jour
escale à Catane (Sicile) arrivée 8 h – départ 18 h
Cinquième jour plaisirs en mer… pas d’escale
Sixième jour :
escale à Palma (Baléares) arrivée 8 h – départ à 18 h
Septième jour
escale à Barcelone (Espagne) arrivée 8 h – départ 17 h
Huitième jour : retour à Marseille : (arrivée prévue à 9h)
Pique-nique de rentrée
dimanche 18 septembre 2011
Nous serons en terrain connu puisque nous pique-niquerons, comme en 2006, sur l’aire aménagée du ramier de Roques-sur-Garonne qui offre quelques équipements de nature à rendre l’aventure confortable (en particulier des toilettes), quoique sans lieu de repli à l’abri en cas de mauvais temps. Faute des infrastructures nécessaires, il n’y aura ni tirage de bière ni frites.
Gageons que la bonne humeur des Gars du Nord compensera ces petits inconvénients !
RENDEZ-VOUS A MIDI au Ramier de Roques-sur Garonne pour un apéritif offert par l’Amicale.
Chacun amènera sa glacière, son couvert, son repas et sa boisson. On pourra également amener sa table et ses chaises. Enfin, les amateurs n’oublieront pas leurs boules de pétanque, leurs cartes à jouer ou tous autres accessoires qu’ils estimeront nécessaires.
Merci de vous inscrire en nous retournant le coupon-réponse ci-dessous de façon à ce que nous puissions organiser au mieux cette journée et prévoir quelques boissons rafraîchissantes en nombre suffisant pour l’après-midi.
Pour vous rendre au ramier de Roques :
Par la rocade, prendre la direction de Muret, sortir au centre commercial de Roques et suivre la direction Roques-centre en empruntant le pont au-dessus de la rocade. En restant sur cette route vous arriverez directement au ramier.