La Bêtise de Cambrai

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 Les Bêtises de Cambrai sont ces fameux petits bonbons blancs de forme rectangulaire, ornés d’une bande jaune, créés en 1856 et qui ont fait la réputation de la ville.

La fabrication débute par une cuisson de trente minutes à plus de 100 °C de plusieurs sortes de sucres dans de superbes curseurs en cuivre. La pâte ainsi obtenue est travaillée à la main, puis déposée dans un pétrin pour l’oxygéner et la mélanger à de l’essence de menthe. En quelques minutes, sa couleur passe du roux (sucre cuit) au blanc, comme les œufs en neige passent du blanc cassé au blanc éclatant après avoir été battus.

Les artisans reconstituent alors une bêtise géante d’environ 30 kilos. La pâte est ensuite étirée dans un laminoir, puis coupée et empapillotée pour le plaisir des gourmands.

Les mines du Nord classées ?

On ne le répètera jamais assez, notre ami Jean-Paul HUART est fier d’être Ch’timi et son optimisme forcené l’amène à se pencher essentiellement sur ce qui va bien dans notre beau pays, nous en apportant des preuves au fil des pages pour mieux nous en convaincre. C’est pour ça qu’on l’aime ! (notre beau pays, bien sûr… « et toi aussi, JP »).

Le projet a été lancé en 2003 par l’association BMU (Bassin Minier Unifié).

Le 25 janvier 2010, Catherine COLONA, ambassadeur de France auprès de l’UNESCO, a remis la proposition au comité du Patrimoine mondial.

Leurs experts ont effectué une visite sur le territoire à l’automne dernier. L’Unesco devait donner sa réponse d’ici l’été 2011.

Las ! Le 2 février 2011, le gouvernement annonce qu’il ne présentera pas la candidature du bassin minier.

La région Nord-Pas-de-Calais est extrêmement déçue. Mais cette déconvenue ne remet pas en cause le dossier BMU. Il sera présenté à nouveau en 2012 !

Je présente ci-dessous mon article, tel que je l’avais écrit avant de savoir le projet non retenu pour cette année.

LES MINES DU NORD CLASSEES ?

Un ensemble minier de grande ampleur brigue pour la première fois un classement au patrimoine mondial de l’Unesco. Un patrimoine populaire et ouvrier, issu d’une histoire ordinaire se trouvera ainsi reconnu, dixit Jean-François Caron, maire de Loos-en-Gohelle, près de Lens, président de l’association Bassin minier uni, qui a porté cette candidature.

Les nombreux inventaires menés entre 2003 et 2009 ont permis de recenser aujourd’hui plus de 1200 éléments de patrimoine minier sur l’ensemble du territoire. Dans le cadre de la constitution de la proposition d’inscription et compte tenu des normes imposées pour toute candidature, un certain nombre de ces éléments a été sélectionné, dans un souci de représentativité et selon de multiples critères : intégrité, authenticité, architecture, urbanisme, histoire, géologie, géographie, diversité des paysages, état de conservation, protection et gestion…

Au final, 25% de la totalité du patrimoine (353 éléments) ont été retenus. Concernant 87 communes, le périmètre proposé inclut ainsi :

  • 17 fosses ou vestiges significatifs,
  • 21 chevalements (ensemble d’étais destinés à soutenir provisoirement une construction),
  • 51 terrils,
  • 54 kilomètres de cavaliers,
  • 3 gares,
  • 124 cités,
  • 38 écoles et groupes scolaires,
  • 26 édifices religieux,
  • 22 équipements de santé,
  • 7 équipements collectifs divers : salle des fêtes, maison syndicale, équipements sportifs,
  • 3 « Grands bureaux » de Compagnies minières,
  • 4 000 hectares de paysage.

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270 ANS D’HISTOIRE

1720 : Découverte de charbon à Fresnes-sur-Escaut et naissance du Bassin du Nord.

1757 : Fondation de la première compagnie minière, la Compagnie des Mines d’Anzin.

1832 : La Compagnie des Mines d’Anzin crée la première caisse de secours chargée de verser des allocations aux mineurs blessés.

1841 : découverte du charbon à Oignies.

1847 : Sondage à la fosse de l’Escarpelle, près de Douai, donnant l’impulsion pour la mise en exploitation du Bassin du Pas-de-Calais.

1906 : Catastrophe des Mines de Courrières, 1099 morts.

1913 : Le Bassin du Nord-Pas de Calais produit 67 % de la production nationale (27 millions de tonnes) et emploie 130 000 mineurs.

1914-1918 : Première Guerre mondiale : 103 fosses détruites (sur environ 150), 1900 kilomètres de galeries inutilisables.

1930 : Production record de 35 millions de tonnes (64% de la production nationale).

1939-1945 : Seconde Guerre mondiale : exploitation systématique par les troupes occupantes.

1946 : Loi de Nationalisation et création des Houillères du Bassin du Nord-Pas de Calais. Institution du « Statut du mineur ».

1947 : 222 000 mineurs travaillent dans le Bassin minier au plus fort de la Bataille du charbon.

1956 : Production de 29 millions de tonnes, 166 000 mineurs.

1968 : « Plan Bettencourt » qui prévoit l’arrêt progressif de l’activité.

1971 : Production de 15 millions de tonnes, 62 000 mineurs.

1974 : Catastrophe de Liévin : 42 morts.

1981 : Production de 4 millions de tonnes, 24 000 mineurs.

1990 : La dernière « gaillette » est remontée à la fosse du 9-9 bis de Oignies.

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La fête de la Saints Barbe Le statut du mineur

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Maison syndicale de Lens Mémorial de Bruay-la-Buissière

Se caractérisant par la massivité de ses héritages bâtis, le Bassin minier du Nord-Pas de Calais est également le support d’une histoire et d’une mémoire, celles des mineurs et de leurs familles, témoignant de l’apparition et de la constitution d’un modèle de classe ouvrière, dans ses relations au travail, ses actions collectives, ses modes de vie et ses pratiques culturelles.

Par l’activité minière s’est forgée une cohésion de groupe, une identité collective qui a donné naissance à une véritable conscience de classe prenant forme dans les mouvements collectifs de revendication. Le souvenir des mouvements de grève témoigne de l’engagement d’un groupe qui a organisé sa révolte et qui s’est structuré par les syndicats. Dans le Bassin du Nord-Pas de Calais, au même titre que d’autres bassins miniers français, la précocité de ces actions collectives a fait progresser la législation du travail et la situation des mineurs a parfois été très en avance comparée à d’autres métiers en France.

Immigration, années 1930, société colombophile

L’immigration a accompagné l’histoire du Bassin minier du Nord-Pas de Calais durant ses trois siècles d’activité. Au fur et à mesure de leur développement, les mines du Nord-Pas-de-Calais deviennent un puissant aimant démographique et particulièrement après la Première Guerre mondiale quand les embauches se font massives afin de remettre en état les installations détruites. Ainsi, des hommes et des femmes de 29 nationalités différentes sont venus s’installer dans le Bassin.

Les pratiques, les associations et les sociétés héritées de la mine, désormais soutenues par les municipalités et les collectivités territoriales, donnent au Bassin minier une énergie associative forte et dense. Parmi ces pratiques se trouvent la colombophilie, le sport (football, gymnastique, tir à l’arc, boxe, cyclisme), les pratiques artistiques (harmonies), le jardinage, les pratiques festives (fête de la Sainte Barbe).

Jean-Paul HUART

Votre polar de l’été 2011

 

clip_image002Les Seigneurs d’Amaury sont sur la dernière ligne droite. Je viens d’apporter les ultimes corrections à la maquette avant son envoi à l’impression. 524 pages de 40 lignes à relire avec beaucoup d’attention ! Un travail fastidieux mais nécessaire.

Les délais sont respectés puisque mon roman sortira comme prévu des presses de l’imprimeur le 10 mai prochain pour une mise dans les bacs des libraires le 2 juin.

Quelques-uns d’entre vous se sont déjà réservé quelques heures de détente estivale avec Les Seigneurs d’Amaury. J’espère que vous serez nombreux à vous accorder ce même plaisir.

Je vous confirme n’avoir pratiquement aucune latitude pour vous proposer une ristourne intéressante sur le prix de vente fixé à 22,00 € sans risquer les foudres de la corporation des libraires. Les seules possibilités légales de remise à l’occasion du lancement d’un livre sont de 5% pour une vente à un particulier et de 9% pour une vente à une association, sous réserve d’abandon des droits d’auteur. Les exemplaires que vous achèterez vous seront donc vendus au prix de 21,00 € (après remise de 5%) par l’Amicale qui les aura acquis au prix de 20,00 € (après remise de 9%) et encaissera ainsi un « petit » bénéfice de 1,00 € par exemplaire. Dura lex, sed lex.

J’espère de tout cœur que la lecture de mon roman, Les Seigneurs d’Amaury, vous procurera autant de plaisir que j’en ai pris à l’écrire.

Jean-Marie DUMARQUEZ

Quelques sages réflexions . . . à méditer

« Pour qui s’y est préparé et s’y attend, le malheur n’a rien de déconcertant. »

« Ayez surtout le souci de séparer les choses du bruit qu’elles font. »

SENEQUE, philosophe latin né à Cordoue en l’an – 4

« Si l’homme ne devait jamais disparaître, mais prolonger éternellement son séjour en ce monde, les choses perdraient leur capacité à nous émouvoir. »

Yoshida KENKO, moine japonais bouddhiste du XIVème siècle.

« La part la plus précieuse de la vie humaine, c’est l’incertitude qui la caractérise ».

Yoshida KENKO

Une dernière plus rigolote :

« Je ne crois pas à l’au-delà, mais j’emporterai quand même des vêtements de rechange. »

Woody ALLEN, réalisateur et acteur de cinéma

Jean-Paul HUART

La lettre du président – 76

Chers amis,

Les beaux jours sont déjà là, avec un petit goût d’été avant l’heure. Mais avant d’envisager de mettre sieste et farniente à son programme, le bureau de votre Amicale a encore du pain sur la planche avant les vacances.

Ce sera tout d’abord, le rallye-promenade au mois de mai, puis la Ch’tite Braderie au mois de juin et le pique-nique aventure début juillet.

Nous avions également envisagé une sortie en vélo pour le mois de juin, qui, à ce jour, présente quelques difficultés de mise en place (on a perdu les roues des vélos…). Nous vous tiendrons bien entendu informés du sort de cette manifestation.

Notre soirée costumée, qui s’est tenue le samedi 26 mars dernier dans l’ancienne salle de cinéma de Lalande, a regroupé 26 participants ravis de faire les fous dans de drôles de déguisements, ce qui prouve que, même en l’absence de leur président, les Gars du Nord savent organiser des manifestations réussies ! En outre, il s’agit d’une manifestation à rebondissements puisque vous aurez à désigner sur photo le plus beau costume de la soirée lors de notre pique-nique de juillet, une façon agréable de se remémorer de bons souvenirs… Les Gars du Nord sont des malins !

Certains diront que le présent numéro du Beffroi est bien léger. Je vous répondrais volontiers, et non sans une certaine facilité, que « l’allégé » est aujourd’hui très tendance et qu’on peut suivre un tantinet la mode sans devenir nécessairement une fashion victim. En fait, il s’agit d’autre chose, vous l’aurez compris. Des occupations très prenantes, en particulier la finalisation de mon roman avant son édition, ne me laissent guère de loisirs, au détriment de notre Beffroi. Heureusement que nos amis Monique et Jean-Paul HUART sont là pour prendre le relais et, par la qualité de leurs articles et le choix de leurs sujets, faire en sorte que « l’allégé » acquière un certain poids.

En espérant vous retrouver nombreux, le 15 mai prochain à l’occasion de notre traditionnel rallye-promenade,

Le bureau se joint à moi pour vous adresser ses plus amicales salutations.

Jean-Marie DUMARQUEZ

Editorial (beffroi avril 2011)

Indignez-vous ! est un essai de Stéphane Hessel publié en octobre 2010. Je viens de lire cet opuscule écrit par un jeune homme de 93 ans, qui défend l’idée selon laquelle l’indignation est le ferment de l’« esprit de résistance ».

Pour lui le « motif de base de la Résistance, c’était l’indignation ». Certes, les raisons de s’indigner dans le monde complexe d’aujourd’hui peuvent paraître moins nettes qu’au temps du nazisme.

Mais « cherchez et vous trouverez » : l’écart grandissant entre les très riches et les très pauvres, l’état de la planète, le traitement fait aux sans-papiers, aux immigrés, aux Roms, la course au “toujours plus”, à la compétition, la dictature des marchés financiers et jusqu’aux acquis bradés de la Résistance – retraites, sécurité sociale…

Alors, on peut croire Stéphane Hessel, et lui emboîter le pas, lorsqu’il appelle à une « insurrection pacifique ».

Publié par une petite maison d’édition de Montpellier – Indigène éditions – l’ouvrage ne dispose d’aucune promotion médiatique. Pourtant, rapidement, ce livre de 32 pages, vendu 3 euros, devient un phénomène d’édition en se vendant à 950 000 exemplaires en 10 semaines[]. Des traductions sont envisagées en slovène, coréen, finnois, ainsi qu’au Liban et en Israël[]. Stéphane Hessel a déclaré au Parisien qu’il avait l’intention de reverser ses droits d’auteur à diverses causes, parmi lesquelles le financement du Tribunal Russell sur la Palestine[].

Le succès tient en partie à la figure[] de son auteur, Stéphane Hessel, né en 1917 en Allemagne d’un père juif, résistant contre le nazisme, déporté à Buchenwald, secrétaire de la Commission des Droits de l’Homme[] quand celle-ci rédigea la Déclaration universelle des droits de l’homme, puis diplomate[]. La forme également, un format court à un prix minime, a probablement facilité sa diffusion[].

Le succès tient notamment[] au rapprochement établi par Hessel entre les idées défendues par les auteurs du Programme du Conseil national de la Résistance (engagement politique de la société civile, primauté de l’intérêt général sur l’intérêt financier, syndicalisme, solidarité des générations, etc.), et ce qui indigne Hessel aujourd’hui : existence des sans-papiers, mauvais traitement réservé à la planète, écart des richesses dans le monde. []L’ouvrage, paru le jour où la réforme des retraites est votée, semble aussi rencontrer une vague de fond de mécontentement et de malaise des Français[].

« Réveil public d’un peuple qui était jusqu’à présent très passif » selon Edgar Morin[], cet engouement littéraire concrétiserait un nouvel engagement des citoyens hors des partis politiques[].

Je laisserai à Cafougnette le mot de la fin, qui m’a déclaré : «Mi, j’ai pas b’soin d’ rével pour m’indigner… Quind in intind chu qu’un intind pis qu’in ravise chu qu’in ravise, ej’ sus fin bénache ed’ pincher chu que j’ pinche ! »

Jean-Marie DUMARQUEZ

Au bal, au bal masqué, ohé, ohé…

Se déguiser, c’est peut-être s’accorder, pour un instant, une autre vie, dans un autre monde, dans un autre temps. C’est pourquoi les enfants sont si friands de ces déguisements qui ouvrent grand la porte à leur imaginaire.

A ce titre, on peut dire que les Gars du Nord sont restés de grands enfants…

Au bal, au bal masqué, ohé, ohé…

C’est par une banderole « Bienvenue chez les Ch’tis » que les joyeux participants à notre deuxième bal masqué étaient accueillis dans la toujours très agréable salle de l’ancien cinéma de Sesquières.

26 amicalistes avaient répondu présents, et chacun semblait avoir pris grand plaisir à se costumer.

Les acclamations qui fusaient à chaque entrée d’un nouvel arrivant faisaient monter l’ambiance et annonçaient une soirée conviviale, chaleureuse et très amusante.

Ce qui fut le cas.

Ne parlons pas de la nourriture plus qu’abondante, variée et délicieuse.

Nous étions tellement bien que nous avons changé les meubles de place pour faire une grande tablée…

Et puis ce fut le grand moment du défilé, chaque participant montant sur scène pour se mettre en valeur et s’attirer les faveurs du public.

Par souci d’équité, les hommes ont voté pour les femmes et les femmes pour les hommes…

Mais nous ne vous dirons pas qui a gagné !

Car nous proposerons à tous les amicalistes présents au cours du pique nique de juillet de voter pour ce qui leur semblera être le plus beau déguisement.

D’ores et déjà nous vous proposons quelques instantanés de cette soirée des plus réussies.

Et nous nous sommes donné rendez-vous l’année prochaine… Alors si vous avez envie de passer une excellente soirée, n’oubliez pas de vous inscrire la prochaine fois !

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Il y avait foule au buffet….              Et de la joie à table ….

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Mais que fait la police ???             Nos deux fées de la soirée

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Une famille venue d’ailleurs…              Toutes ces dames…

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Qui c’est celui-là ?

Rendez-vous, donc, au pique-nique de juillet pour élire, sur photo, le plus beau costume de la soirée.

Les critères de sélection (esthétisme, originalité, humour, etc.) vous seront fournis ce jour-là.

Monique HUART

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Emilienne déguisée en Emilienne…

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Superman prenant son envol…

Rallye promenade

LE DIMANCHE 15 MAI 2011

Attention ! 3.2.1… C’est parti pour notre traditionnel rallye-promenade !

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Le rallye s’organise ainsi : chaque équipage est constitué d’une voiture et de quatre participants, sachant que les personnes seules peuvent :

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– soit prendre trois autres passagers,

– soit être passager d’un autre véhicule.

Le matin, un parcours ludique et touristique vous sera proposé, avec un regroupement autour d’une bonne table à midi. L’après-midi sera festif et consacré au farniente, à la pétanque et autres activités champêtres après la proclamation des performances des concurrents qui pourront jouir d’un repos bien mérité.

Ceux que la compétition rebute nous rejoindront directement au restaurant.

Vous trouverez toutes les informations utiles ainsi que les modalités d’inscription dans votre prochain Beffroi.

PENSEZ D’ORES ET DEJA A ANNOTER VOS AGENDAS !

Votre polar de l’été 2011

En 2004, Station Terminus, mon premier roman édité, fut chaleureusement accueilli par de nombreux Amicalistes. Cette aventure éditoriale n’est plus aujourd’hui qu’un bon souvenir mais, ceux qui me connaissent le savent, je n’ai pas cessé d’écrire, sans éveiller, jusqu’à ce jour, l’intérêt d’un éditeur. clip_image015_thumb

Le 29 mai 2009, j’adressai un thriller, Les Seigneurs d’Amaury, aux Editions du Pierregord, qu’un auteur ami m’avait chaudement recommandées, et j’eus la joie de recevoir un avis favorable de leur comité de lecture. Le 16 avril 2010, je signai mon contrat d’édition (les délais sont toujours très longs dans l’édition) pour une parution au mois d’août 2011, avec la satisfaction que vous devinez et la garantie d’une excellente distribution de mon livre sur le territoire français et dans les pays francophones.

Les délais se sont quelque peu raccourcis puisque mon roman devrait sortir des presses de l’imprimeur le 10 mai prochain pour une mise dans les bacs des libraires le 2 juin.

Je vous propose donc aujourd’hui Les Seigneurs d’Amaury en avant-première. Vous trouverez en encart du présent numéro du Beffroi la fiche de lecture établie par mon éditeur qui, je l’espère, vous incitera à acquérir ce « chef-d’œuvre ». Vous pourrez trouver d’autres informations sur le site internet des Editions du Pierregord : « http//www.editionspierregord.com ».

Le prix de vente est fixé à 22 euros et je n’ai pratiquement aucune latitude pour vous proposer une ristourne intéressante sur ce prix sans risquer les foudres de la corporation des libraires. Les seules possibilités légales de remise à l’occasion du lancement d’un livre sont de 5% pour une vente à un particulier et de 9% pour une vente à une association, remises soumises à l’abandon des droits d’auteur. Les exemplaires que vous achèterez vous seront donc vendus au prix de 21,00 € (après remise de 5%) par l’Amicale qui les aura acquis au prix de 20,00 € (après remise de 9%) et encaissera ainsi un « petit » bénéfice de 1,00 € par exemplaire. Dura lex, sed lex.

J’espère de tout cœur que la lecture de mon roman, Les Seigneurs d’Amaury, vous procurera autant de plaisir que j’en ai pris à l’écrire.

Jean-Marie DUMARQUEZ