Un fabricant picard : Cornilleau

Leader européen de la table de ping-pong, le fabricant picard s’attaque au marché chinois de la compétition, avec des raquettes fabriquées spécialement à partir de bois de compétition.
La petite entreprise, située à quelques kilomètres au sud d’AMIENS se targue de garder toujours une longueur d’avance, parce qu’elle investit beaucoup dans la recherche. Cornilleau a un positionnement haut de gamme, alors que son concurrent français Décathlon occupe plutôt l’entrée de gamme.
Trois cents tables de ping-pong ont été installées dans la capitale britannique à l’occasion des jeux olympiques de LONDRES. Elles ont été installées dans les gares, aéroports ou autres lieux de passage, à la disposition des usagers, afin de promouvoir la pratique du tennis de table.image
En 1968, l’enseigne BHV, pour répondre à une demande pressante de ses clients, commande trois cents tables de ping-pong à la petite menuiserie familiale Cornilleau qui relève le défi, en partenariat avec le ferronnier du village. Ces premières tables rencontrent un tel succès que Cornilleau décide d’investir dans de nouvelles machines et y consacre 50% de son chiffre d’affaires de l’époque. En dix ans, l’entreprise se hisse à la première place française.
En 1981, Cornilleau signe un contrat de sponsoring avec le champion Jacques Secrétin qui fait s’envoler son image de marque. Les tables sorties de l’atelier picard deviennent synonymes de compétition.
L’entreprise emploie aujourd’hui 80 personnes et réalise 40% de son chiffre d’affaires à l’export.

JP HUART

Je vous parle d’un temps que les nouveaux adhérents ne peuvent pas connaitre…

Je vais vous parler de l’Hermione.
– Mais qu’es à quo ?? Comme on dit à Toulouse,
– Un bateau.
– Mais allez-vous dire, elle ne fait que parler de bateau…
Il y a eu l’Horizon et l’aventure des ch’tis en croisière, et maintenant l’Hermione.
Mais attention l’Hermione ce n’est pas un bateau de croisière…. C’est la frégate qui a amené La Fayette en Amérique !!
Et si je vous en parle c’est que récemment, au journal télévisé de France 2, il y a eu un reportage sur l’Hermione aujourd’hui et cela m’a rappelé ce 26 juin 2002, jour où, au cours d’un voyage de 4 jours qui nous a emmené jusqu’au Puy du Fou, l’amicale s’est arrêtée à Rochefort pour visiter le chantier de l’Hermione.
Petit retour arrière :
Tout d’abord historique : L’Hermione est un navire de guerre français en service de 1779 à 1793. C’est une frégate de 12 (en référence au calibre de ses canons), portant 34 canons. Elle fait partie des frégates construites à l’arsenal de Rochefort.
C’est en 1780 que La Fayette embarque à bord de l’Hermione pour traverser l’Atlantique et aider à l’indépendance des Etats Unis d’Amérique.

imageEn 1793, l’Hermione touche les hauts fonds au large du Croisic, (près de l’estuaire de la Loire) Le capitaine Pierre Martin fait évacuer l’équipage et l’Hermione sombre quelques heures plus tard.
Dans un passé plus récent : À Rochefort, depuis 1997, dans l’ancien Arsenal maritime, une équipe de passionnés reconstruit la frégate Hermione. Ce grand navire en bois, témoin d’une période phare de l’histoire maritime française est reconstruit sous les yeux du public qui peut ainsi découvrir le travail des charpentiers, forgerons, gréeurs, calfats, voiliers…
L’ambition de l’Association Hermione-La Fayette est de reconstruire le plus fidèlement possible à la frégate d’origine, tout en tenant compte des contraintes règlementaires actuelles, notamment en matière de navigabilité, un navire de plus de 65 mètres de long portant trois mâts et 1 500 m2 de voilure, et dont la coque est entièrement réalisée en chêne.
Quelques chiffres : un grand mât à 54 mètres au-dessus de la quille, 2 000 chênes sélectionnés dans les forêts françaises, un puzzle de plus de 400 000 pièces de bois et de métal, 1 000 poulies, 1 tonne d’étoupe pour le calfatage, 26 canons tirant des boulets de 12 livres sur le pont de batterie et 8 canons tirant des boulets de 6 livres sur le pont de gaillard.
Le chantier ayant pris du retard, la mise à l’eau initialement prévue en 2007 a été repoussée au 6 juillet 2012. Au XVIIIe siècle, le navire initial avait été construit en moins d’un an.
Plusieurs modifications ont été apportées au plan original du navire, par souci de solidité et de sécurité : en particulier, les planches sont boulonnées et non chevillées afin d’éviter le jeu secondaire à la durée de construction. De même, les mâts sont collés et non assemblés par des cercles métalliques, afin d’éviter les infiltrations d’eau. Les canons, pour des motifs de poids et également de sécurité, sont allégés et non fonctionnels. Les manœuvres courantes restent en chanvre ; en mars 2011, la voilure reste prévue en lin.
Une motorisation est prévue en sécurité ainsi que des groupes électrogènes pour l’éclairage et un confort minimal.
Les ch’tis visitent le chantier : voici ce que nous avions vu en 2002 :

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Je concluais mon article sur le Beffroi par : Si tout va bien, en 2007 la demoiselle de Rochefort reprendra alors la mer, direction Boston…

Aujourd’hui :
Nous sommes en 2012 et la mise à l’eau a eu lieu en grande pompe le 6 juillet, la coque nue (sans son gréement) a effectué un premier « test de navigation » remorquée sur la Charente.
Voici donc l’Hermione en 2012 !

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Et la demoiselle de Rochefort découvre à peine les joies de la navigation… son départ pour la grande traversée vers l’Amérique est prévue en 2015 si tout va bien !
Je vous en reparlerai à ce moment-là !!! Si tout va bien pour moi aussi !!!

Monique Huart

Une course exceptionnelle : Paris-Roubaix

Le vendredi 11 avril 2012 se disputait cette fameuse course cycliste. L’itinéraire des coureurs passait devant le café « chez Françoise, situé dans la rue principale de TROISVILLES. Sur le mur extérieur, deux panneaux étaient accrochés, l’un indiquant la direction de PARIS, l’autre celle de ROUBAIX. Entre les deux, figurait un portrait de Jean Stablinski, champion du monde de cyclisme en 1962, décédé en juillet 2007. Il y avait une inscription sous la photo : « J’ai rejoint le paradis des cyclistes ».
J’écris ces lignes aujourd’hui, jeudi 4 avril car le dimanche 7, les coureurs prendront le départ de la 111ème édition de la célèbre course.

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Comme chaque année, le départ se fera de COMPIEGNE. Avec le retour du printemps, la ville est heureuse d’accueillir le départ de la reine des classiques. La veille de la course, tous les mordus du vélo organisent de nombreuses manifestations. Un salon du Paris-Roubaix est organisé par l’office des sports de l’agglomération de la région de Compiègne. L’après-midi, le village des clubs réunit petits et grands pour la présentation des coureurs. Le soir, la course nocturne dans le centre-ville donne un avant-goût pour tous les supporteurs.
Cette année encore, les coureurs passeront devant « chez Françoise » et le portrait de Jean Stablinski. Un peu plus loin, le premier d’une bonne vingtaine de secteurs pavés les attendra, parmi les moins redoutables. Car dans le Valenciennois, les cyclistes rouleront sur du grès au teint rosacé. Plus loin, du granit venu de Bretagne ou de la pierre bleue de Soignies.
Ces routes devenues des chemins agricoles, construites à la fin du XVIIIème et au milieu du XIXème siècle, sont aujourd’hui semées d’ornières, de flaques de boue et blocs saillants. En tout, une cinquantaine de kilomètres de cet acabit sont répartis sur les 254 kilomètres du parcours.
Selon leur longueur et leur état général, les tronçons sont notés de 1 à 5. Le premier « 5 étoiles » , c’est la redoutable trouée d’Arenberg, dont le nom exact est « la Drève des Boules d’Hérin ». Elle est composée d’une longue ligne droite d’une longueur de 2400
– 7 –
mètres à travers la Forêt de Raismes-Saint-Amand-Wallers. Des pavés disjoints et biscornus, très durs à franchir et qui font souffrir les mollets.
Un ancien coureur professionnel se souvient : « Ce corridor de 2,4 kms, entouré d’arbres, à la vitesse de 40 kms/h, on est vraiment secoué, on se demande si le vélo ne va pas se casser en deux. »
Dans les années 70, la couverture des routes du nord par du goudron faisait craindre la disparition des pavés. La trouée d’Arenberg fait désormais partie des paysages incontournables de la course grâce à Jean Stablinski, qui avait été mineur à Wallers.
D’une édition à l’autre, l’itinéraire de la course change peu.
Lorsque vous lirez ces lignes, la course sera passée. Peut-être l’aurez-vous vue sinon rassurez-vous, début avril 2014, elle aura lieu à nouveau.

Jean-Paul HUART

Un peu de poésie…

C’est comme ça !!
Le progrès,
L’évolution,
La modernité,
Qui s’en plaindrait……
……sauf que !!
Au plus le temps passe,
Au plus les liens se relâchent,
Au plus la solitude gagne.
Nos arrières grands-parents
Vivaient avec enfants et petits enfants
Au tour du même « foyer »
Nos grands parents
Avaient toujours à qui parler,
Voisins, amis,
Mais surtout famille,
Proche et présente.
Nos parents,
Nous les rencontrions chaque semaine,
Pour la tendresse, pour le plaisir.
Fêtes, anniversaires et autres occasions
Etaient prétexte à réunions.
Nous avons vécu….
Progrès, évolution et modernité,
Nous en avons largement profité…..
……sauf que !!
Devenus grands parents
Enfants et petits-enfants,
Nous ne les voyons que trop rarement.
Nos enfants, pris par le temps,
Ont perdu la tradition….
De visiter chaque semaine leurs parents.
Alors, nous attendons impatiemment
Fêtes, anniversaires et autres occasions
Pour nous gaver de leur présence
ET de celle de nos petits-enfants.
Le progrès
L’évolution
La modernité
Nous permettent d’autres relations,
Amis, voyages, concerts.
Sauf que !!!!!!!

J.P. BOSSUT

Facile à dire…
Qui que l’on soit, quoi que l’on fasse
Nous ne sommes que de passage sur cette terre.
Alors, quoi qu’il se passe
A quoi cela sert-il de s’en faire ?
Facile à dire, mais pas facile à faire.
Sans rien nous demander, on nous donne la vie.
Insouciants, on mange, on boit, on sourit
On profite, on jouit, on grandit
On découvre, on apprend, on en rit
Facile la vie quand on est petit
Avec le temps les plaisirs changent.
Petit à petit, on rencontre les ennuis,
Les copains, les amis, les filles… pas que des anges !
Avec de bons moments, et des peines aussi.
Facile, encore, de faire un tri
Et la vie va, et la vie change
Boulot, famille, gros plaisirs et petits soucis.
Prêts à tous les challenges
L’obsession de la réussite nous poursuit.
Facile, toujours, de ne penser qu’aux jours qui rient.
Puis vient le temps de ralentir,
De réfléchir, pour qui, pour quoi,
Ces combats, ces chagrins et ces rires ?
C’était pour elle, c’était pour eux, c’était pour moi ?
Pas facile d’imaginer ce qu’il en restera.
Quoi qu’il en soit, quoi que l’on fasse
Nous ne sommes que de passage, ici-bas.
Alors, qui que l’on soit, quoi qu’il se passe
Prenons la vie à pleins bras.
Facile à dire, mais………

J.P. Bossut

Les maquereaux à la Flamande

Ingrédients :
– 4 beaux maquereaux
– 50g de beurre
– Persil, ciboulette
– Echalotes
– Jus de citron
– Sel, poivre

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Préparation :
Vider les maquereaux par les ouïes en évitant de fendre les poissons dans le sens de la longueur. Couper les petits bouts de queue.
Hacher menu le persil, la ciboulette, les échalotes, les ajouter au beurre, verser le jus de citron, saler, poivrer et tourner l’ensemble de manière à obtenir une pâte homogène.
Remplir les ventres des maquereaux ; ficeler les têtes, puis enrouler chaque poisson dans une feuille de papier huilé en attachant chacune des extrémités.
Cuire sur le grill à feu doux.
Avant de servir, enlever le papier. Placer les poissons sur un plat en les arrosant avec le beurre resté dans les papiers. Ajouter un jus de citron.
Vin conseillé : Muscadet

UNE JOURNEE AVEC LES GENS DE GARONNE

Le dimanche 14 avril 2013

Que diriez–vous de passer une journée à la découverte de la Garonne ?

Au programme de la journée :

· 10h00 : Arrivée à Couthures sur Garonne pour la découverte de l’incontournable parcours-spectacle Gens de Garonne, unique en Aquitaine. Plus d’1h30 de découverte, d’expériences et de partage autour d’une formidable aventure humaine.

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· Dégustation d’un produit du terroir du Val de Garonne.

· 12h30 : Repas à la ferme de Mativat

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· 15h30 : Arrivée à la halte nautique de Pont des Sables et embarquement à bord

d’une gabare pour une balade commentée sur le Canal de Garonne (aller/retour).

· 17h : Retour à quai et fin de journée.

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Horaire départ et retour bus :

Ø rassemblement 7h20 sur le parking de Lalande

Ø départ du bus à 7h30

Ø retour départ : 17h15

Ø arrivée à Toulouse : 19h30

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Prix : 30€ pour les amicalistes ; 38€ pour les invités

15 € pour les enfants et 19€ pour les enfants d’invités

 

Pour réserver vos places dès maintenant, vous pouvez contacter Gérard Gruyez au 06.31.72.41.56 ou au 05.61.24.06.54 ou par mail à gruyez-gerard@bbox.fr. Le chèque accompagné du coupon de réservation sont à envoyer à Gérard Gruyez, 34 boulevard des Galaxies 31130 FONSEGRIVES avant le 31 mars.

AU BAL MASQUE, OHE, OHE !

Le 2 mars 2013 à 20 h dans l’ancienne salle de cinéma de Lalande

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Nous vous proposons de rééditer cette soirée qui vous donne l’occasion de vous déguiser. Il n’y a aucun thème imposé, chacun reste libre du choix de son costume.

image  Soyez fous ! Osez ! image

Plus vous serez originaux ou déjantés, plus vous contribuerez à la réussite de cette soirée…

Chacun apportera de quoi garnir le buffet, soit une préparation salée, soit une préparation sucrée. N’oubliez pas de renseigner le coupon-réponse ci-joint.

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Pour réserver vos places dès maintenant, vous pouvez contacter Monique Huart au 06.87.46.74.48 ou au 05.62.72.53.58 ou par mail à monique.huart@wanadoo.fr ou au 17 rue Louis Aragon-31120 Roquettes

 

Comment s’y rendre ?

Depuis notre siège social, prendre la route de Fronton vers Toulouse.

Après le premier feu rouge au croisement avec la rue de l’Eglise, prendre la petite impasse à droite entre le « Café des sports » et la « Maison de justice et du droit ».

Garez-vous sur le parking au fond de l’impasse.

Vous êtes arrivés !

LE MUSEE DU LOUVRES A LENS

A plusieurs reprises dans ces colonnes, j’ai relaté l’avancée de ce musée à LENS. C’est fait ! Il a été inauguré le 4 décembre 2012 par le Président de la république. Alors que, pour la première année, on attend 700 000 visiteurs, le 100 000ème a été fêté avant la fin du premier mois.

Le Louvre-Lens suscite un engouement qui dépasse les espérances.

A quoi ressemble le Louvre-Lens ? Quand le ciel est gris, le bâtiment conçu par les architectes de l’agence japonaise Sanaa ressemble à un nuage d’aluminium et de verre, posé sur une terre noire d’où surnagent de maigres îlots de pelouse. Le chantier extérieur est loin d’être achevé, le grand parc paysager attend encore ses plantations. Le hall d’accueil abrite derrière des lames de verre une librairie, un espace de documentation et un salon. Derrière l’accueil, on aperçoit des arbres et les maisons où vivent encore d’anciens mineurs et leurs familles.

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Sur la fosse numéro 9, la Galerie du temps

 

Le Louvre-Lens a été bâti à l’emplacement même du site de la fosse numéro 9, un puits de mine dont l’exploitation a cessé en 1960. En 1998, lors de la Coupe du monde de foot, cet emplacement avait été reconverti en parking. Aujourd’hui, ce sont les trésors de l’Egypte ancienne, du Moyen-Age, de la Renaissance qui occupent le terrain. Deux grandes galeries, l’une dite Galerie du temps, la seconde consacrée aux expositions temporaires, constituent l’épine dorsale de ce nouveau musée.

La Galerie du temps. La première est une immense nef d’un seul tenant. On y évoque l’histoire des collections du Louvre, depuis la naissance de l’écriture (3.400 avant J.-C.) jusqu’au chef-d’œuvre de Delacroix, « La liberté guidant le peuple », peint au lendemain des journées de 1830. Sculptures, objets d’art, tableaux, dessins, céramiques (plus de 200 pièces en tout) sont montrées dans des vitrines, sur des socles ou de simples cimaises.

Quand on suit le sens de la longueur, le parcours est chronologique ; quand on navigue de gauche à droite, on découvre les œuvres réalisées à la même époque. Un exemple ? Tout à côté du célèbre « Monsieur Bertin » de Ingres (peint en 1832), on découvre une stèle funéraire turque de 1809 et un immense portrait du souverain de la dynastie qadjare Fath Ali Shaj, œuvre d’un peintre actif en Iran au début du XIXe siècle, Mehr Ali.

La galerie des expositions temporaires (dont l’entrée sera payante – 9 euros plein tarif – alors que l’accès à la Galerie du temps sera gratuit jusqu’en décembre 2013) est plus traditionnelle : succession de salles qui accueillent pour une durée de six mois un ensemble consacré à la Renaissance. Clou de cette présentation, la « Sainte-Anne » de Léonard de Vinci, récemment restaurée, a fait le déplacement.

A Lens, le coût total de l’opération s’élève à 150 millions d’euros, la région Nord Pas-de-Calais y contribuant pour 59%, l’Europe (à travers le Fonds européen de développement régional) pour 20%, le conseil général du Pas-de-Calais et les communautés d’agglomération de Lens-Liévin et d’Henin-Carvin en assumant le reste. Guy Delcourt, maire de Lens, espère la création de 500 emplois dans les années à venir, principalement dans l’hôtellerie et la restauration.

En arrivant sur le site, vous pouvez voir deux grands terrils dont la silhouette sombre se découpe sur l’horizon. Ils sont, paraît-il, plus hauts de 50 mètres que la pyramide de Khéops. Un Louvre, des pyramides, des terrils, Lens fait désormais partie de l’histoire.

JP HUART

L’Assemblée générale 2013

Les gens du Nord ont dans le cœur

le soleil qu’ils n’ont pas dehors…

La journée avait mal commencé par la découverte au petit jour d’une neige abondante qui faisait obstacle à tout déplacement.

Et tous les téléphones se mirent à sonner, a vibrer pour nous signifier de nombreuses annulations…

A la maison tous les moyens d’informations et de communications étaient branchés :

Radio (sur radio Toulouse) Tv sur la chaîne météo, ordinateur, téléphones…..quand une lueur d’espoir apparut : la neige s’arrêta et la pluie se mit à tomber.

Finalement la décision de reculer à midi l’arrivée des participants fut prise….. .

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Tout le monde était là sous le signe d’une amitié toujours renouvelée. Les gars du Nord ont eu plaisir à se retrouver, comme toujours…

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Exceptionnellement en raison d’une météo « nordique » c’est après le repas délicieux que nous avons pu tenir notre assemblée.

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Elle fut simple, rapide, allant à l’essentiel, mais n’a en rien entamé la bonne humeur des participants.

Tout le monde a apprécié cette courte journée passée aux Tables de la Fontaine, un restaurant au décor très agréable, à l’accueil chaleureux, au service fait de respect et d’attention….un lieu original de par son fonctionnement et de par le choix de son nom qui nous ramène à notre enfance en compagnie de Mr de La Fontaine.

Monique Huart